http://www.tahiti-infos.com/Des-nouveautes-attendent-l-equipage-Tahitien-sur-le-Tour-de-France-a-la-Voile_a149727.html

Après 9 années d’absence, Tahiti revient sur le Tour de France à la Voile avec l’équipage de Teva Plichart, Manutea Mahai, Pierre Pennec et Dimitri Deruelle. Tous les quatre porteront les couleurs de Trésors de Tahiti sur cette mythique épreuve nautique. Mais depuis la dernière participation polynésienne, le rendez-vous estival des passionnés de voile a fortement évolué. Après être passée sur multicoques, l’année dernière avec l’arrivée du Diam 24 comme bateau officiel et avoir supprimé les étapes de ralliement au profit de raids, la modernisation du Tour de France à la voile se poursuit sur cette 39e édition. Petit tour d’horizon des nouveautés 2016.

http://www.letahititraveler.com/a-lassaut-des-marquises-en-trois-lecons/

L’hommage du Quai Branly à l’art marquisien fait sensation dans la presse métropolitaine… « Les Marquises reines de beauté », titre Paris Match, tandis que Le Monde propose à ses lecteurs une virée toute poétique « Au pays du tiki qui rit »… Profitant de ce printemps parisien tout marquisien, eTahiti Travel vous invite ce mois-ci à découvrir ces exquises Marquises… en trois leçons!

Leçon numéro un : courez au Quai Branly !

« Mata Hoata », ou les « yeux étincelants », en marquisien, est le nom de la grande expo de ce printemps 2016 au musée du Quai Branly. Comme pour mieux souligner la vivacité de la culture ancestrale des îles Marquises, sublimée pendant deux mois dans la galerie Jardin du Quai Branly.

Véritable immersion dans le paradis des îles Marquises, Mata Hoata peut se vanter d’être la plus grande exposition au monde consacrée à l’art marquisien. Près de 300 pièces ont été réunies, permettant de retracer rites, croyances et art dans l’archipel, du XVIIIe siècle aux dernières créations contemporaines.

En filigrane, on découvre les Marquises sous un autre jour que celui inspiré par Brel ou Gauguin, ses deux plus grands ambassadeurs contemporains. Derrière les images parfois stéréotypées véhiculées par les deux artistes français exilés dans cet archipel perdu au milieu du Pacifique, on envisage la culture marquisienne par elle-même. Les tikis, représentations des ancêtres creusées dans le basalte ou le bois noble, hypnotisent. L’imaginaire des tatouages traditionnels vous happe et vous interroge… Et la finesse des ornements de fête, les « peue ei » impressionne… tous symboles du processus de métissage à l’œuvre dans la société marquisienne, depuis l’arrivée des premiers missionnaires jusqu’à aujourd’hui.

Le voyage commence ici. Vous avez jusqu’au 24 juillet pour goûter à la richesse de l’art marquisien. Ne ratez pas ce grand rendez-vous !

Leçon numéro deux : (re)découvrez l’œuvre rééditée de von den Steinen

Faisant écho à l’événement de l’exposition parisienne, la maison d’édition tahitienne « Au vent des îles » a réédité l’intégrale de l’œuvre référence de Karl von den Steinen. Médecin allemand, embarqué dans les années 1879-1881 pour le Mexique, la Californie, le Japon, Java, les Indes et l’Egypte, il écrira que « c’est pourtant des îles polynésiennes que j’ai ramené les impressions les plus fortes et les plus vivantes, celles où l’homme et la nature s’accordent dans la beauté et la joie comme nulle part ailleurs dans le monde. »

En 1897 et 1898, von den Steinen compile une incroyable somme de connaissances sur l’art marquisien, inventoriant le moindre objet, le moindre dessin… et consignant même dans ses carnets les chants traditionnels marquisiens.

Fait original, les meilleurs tatoueurs polynésiens actuels puisent encore aujourd’hui dans les carnets de von den Steinen l’essentiel des motifs du « tatutiki », le tatouage marquisien traditionnel…

Leçon numéro trois : vous êtes enfin prêt, allez aux Marquises !

Ca y est ? Vous aussi êtes tombé sous le charme des exquises Marquises chantées par Brel ? Alors qu’attendez-vous embarquer ?

Oui « embarquer ». Car les Marquises se visitent aussi en bateau. Au fil de ses rotations bi-mensuelles, le cargo mixte Aranui s’est imposé comme l’une des grandes références du tourisme en Polynésie française. La recette ? Embarquez sur un même bateau quelques conteneurs de vivres à destination des Marquises, ajoutez-y une centaine de cabines de grand confort et un équipage presque 100% polynésien. A l’arrivée : sans conteste la croisière la plus couleur locale de Polynésie française…

L’Aranui 5, le dernier et flambant neuf bateau de la compagnie locale, fait même un crochet par Bora Bora sur la route du retour… Un must !

Pratique

L’expo de printemps au Quai Branly « Mata Hoata, art et société aux îles Marquises »
Du 12 avril au 24 juillet 2016, Plein tarif : 9,00 €. Tarif réduit : 7,00 €
http://www.quaibranly.fr/fr/expositions-evenements/au-musee/expositions/details-de-levenement/e/matahoata-36333/

Le coffret « Les marquisiens et leur art », collection Culture pacifique, Edition Au Vent des Îles, 108 euros.
http://www.auventdesiles.pf/catalogue/collections/culture-pacifique/les-marquisiens-et-leur-art-le-coffret/

Croisière sur le cargo mixte Aranui 5
http://www.etahititravel.pf/cruises/CruisesDetail.aspx?cruiseid=Aranui

http://la1ere.francetvinfo.fr/polynesie/tahiti/polynesie-francaise/150-millions-pour-l-aide-au-logement-des-familles-modestes-369327.html

Le ministre du logement, Tearii Alpha, et la présidente de l’association Agence immobilière sociale de Polynésie française (A.I.S.P.F), Antonina Bambridge, poursuivent un partenariat engagé depuis 2009.
M.D ; Polynésie 1ère

http://youtu.be/STeA-QgBuMM

http://youtu.be/Z9C-dVWpJRU

http://la1ere.francetvinfo.fr/polynesie/tahiti/polynesie-francaise/re-edition-de-la-trilogie-les-marquisiens-et-leur-art-369079.html

Les éditions « Au vent des îles » et le musée de Tahiti et des îles rééditent la trilogie, de Kar Von Den Steinen « Les Marquisiens et leur art ».

http://youtu.be/WcaYANOUSRY

http://youtu.be/LLCxfRpMIUI

http://youtu.be/oYs3MDCKbjs

http://www.tahitinews.co/quand-le-orero-reunit-les-peuples-du-triangle-polynesien/

Le président Edouard Fritch et la ministre de l’Education, Nicole Sanquer-Fareata, ont assisté, mardi soir, au Grand théâtre de la Maison de la Culture-Te Fare Tauhiti Nui, à la 8ème édition de la rencontre des lauréats du ’ōrero des écoles primaires et des centres des jeunes adolescents (CJA) de la Polynésie française. Cet évènement est organisé par le pôle Langues et Cultures Polynésiennes de la Direction générale de l’éducation et des enseignements (DGEE), en partenariat avec la Fédération des œuvres laïques (FOL), et sous le haut patronage du ministère de l’Education et de l’Enseignement supérieur. Cette rencontre a été l’occasion pour sept orateurs et percussionnistes de la Fraternité chrétienne et vingt-sept autres ti’a ’ōrero (soit 34 au total) originaires des archipels de la Polynésie française, de Hawaii et de Wallis et Futuna, de révéler au public leur maîtrise de cet art oratoire ancestral. Enfants et adolescents âgés de 9 à 19 ans se sont produits sur scène pour déclamer, leur île, leur archipel, leurs héros légendaires dans leur langue polynésienne d’origine. Chaque année, le projet ’ōrero permet de mettre en exergue une diversité de formes d’expressions artistiques spécifiques à la Polynésie. La soirée a été également ponctuée de magnifiques chants interprétés […]

http://www.letahititraveler.com/tahiti-pour-lamour-des-miss/

Le 24 juin, les Polynésiens éliront leur Miss Tahiti 2016. On découvrira à cette occasion qui portera les couleurs de la Polynésie lors de la prochaine élection Miss France. Ce que l’on sait déjà, c’est que toutes les Polynésiennes et tous les Polynésiens vont suivre l’événement de très très près… dans ce pays où toutes les miss sont en réalité des reines…

Difficile, depuis l’extérieur, de se rendre compte de l’engouement suscité par les concours de beauté en Polynésie. Il suffit de pourtant de regarder le nombre d’élections thématiques qui jalonnent l’éphéméride polynésienne ! On y retrouve pêle-mêle Miss et Mister Papeete, Miss Dragon (qui élit la plus belle femme issue de la communauté chinoise), Miss Heiva (pour les représentantes de la culture polynésienne), Miss Popa’a (pour les filles originaires de métropole) et même Miss Vahinetane (« femme-homme », en tahitien, qui concerne les raerae, les travestis homosexuels)…

Omniprésente Miss Tahiti

Et l’élection de Miss Tahiti constitue sans nul doute LE grand rendez-vous de l’année, inscrit en lettres d’or dans l’agenda culturel et médiatique polynésien. Avant lui, impossible de rater les grandes banderoles tendues dans les ruelles des plus petites îles polynésiennes, annonçant la tenue des élections communales. Les portraits des miss et misters s’affichent sur les lampadaires, autant que dans les pages des journaux locaux… Après l’élection, on retrouve les heureuses élues dans tous les grands rendez-vous publics, prétextes pour se faire tirer le portrait aux côtés de son égérie et ainsi repartir avec un autographe que l’on affiche volontiers dans son bureau ou son salon ! La passion des miss s’expose un peu partout et elle a même fait la pluie et le beau temps sur Polynésie Première grâce à Mehiata Riaria, Miss Tahiti 2013 et 1ère dauphine lors du concours Miss France 2014 !

De vraies ambassadrices pour la Polynésie

Plus qu’une miss, c’est une ambassadrice que les Polynésiens s’apprêtent à élire le 24 juin. Au delà de l’exotisme, de ce doux parfum de tiare Tahiti posé sur l’oreille, Miss Tahiti c’est aussi l’incarnation de la beauté des femmes et de la culture polynésiennes. Et le comité polynésien des miss, dirigé par Leïana Faugerat, met un point d’honneur à débusquer des personnalités attachées au Fenua et prêtes à le défendre bec et ongle. Ainsi, parmi les premiers critères de sélection établis par le comité, on retrouve le désir de représenter son Fenua, l’atttachement à la culture polynésienne ou encore le respect de toutes les communautés qui forment la Polynésie.

« Miss Tahiti est historiquement une des plus belles femmes du Monde. Elle est le symbole de la gentillesse, de la douceur, de l’élégance et de la beauté. Miss Tahiti est un statut à vie : Miss Tahiti un jour, Reine de beauté toujours. »

Le comité Miss Tahiti, sur son site internet www.misstahiti.com

Un palmarès déjà incroyable

Si la beauté des femmes polynésiennes était à prouver, il n’y aurait qu’à regarder les résultats des dernières élections de Miss France qui, au delà du concours du 24 juin à Papeete, est déjà dans toutes les têtes. Miss Tahiti c’est, au cours des dernières années, trois premières dauphines et, en décembre 2015, une place de deuxième dauphine raflée par la bellissime Vaimiti Teiefitu. Sans oublier la sixième place de Hinarere Taputu, Miss Tahiti 2014, à l’élection de Miss Monde 2015. Gageons que 2016 soit – enfin ! – l’année de la consécration pour celle qui saura séduire le jury le 24 juin à Papeete. L’occasion, à coup sûr, de décréter une journée au moins de fête « nationale » au Pays des vahinés !

http://www.service4etoiles.fr/offre-24351-Barman-hote-de-restauration-cdd-25h.html

http://youtu.be/jZqI3rTvSCU

http://youtu.be/TC3h6kFR9S8

http://www.tahitinews.co/135-dossiers-traites-en-2015-par-la-commission-de-surendettement/

135 dossiers ont été déposés en traités l’année dernière par la commission de surendettement, un volume en diminution de 20% par rapport à 2014.   Tel est le constat en demi-teinte dressé par l’Institut d’émission d’outre-mer (IEOM) qui gère le dispositif de manière opérationnelle depuis sa création en 2012. Comme en métropole ou dans les Dom, et en partie du fait de la persistance de la crise économique, il s’avère que le phénomène de surendettement ne s’est pas atténué. Et encore, reconnaissent les responsables, « nous n’avons que le sommet de l’iceberg… », parfaitement conscients de la nécessité de promouvoir le dispositif auprès du grand public. Pour preuve, sur les 2482 formulaires retirés depuis la création de la commission, seulement 416 dossiers ont été constitués, soit un ratio de 0,5 dossier pour 1000 habitants. Outre le manque d’informations, la pudeur des intéressés ou encore le fait de devoir payer les justificatifs demandés lors de la constitution du dossier, pourraient expliquer une telle déperdition. Mais alors, qui est concerné par cette commission du surendettement ? En résumé, toute personne placée dans l’incapacité de faire face à ses échéances, notamment bancaires. En revanche, il faut savoir que les professionnels (patentés) ne sont pas éligibles. Ce […]