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La Maison des Bois Marc Veyrat recrute Sommelier
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O Tahiti Nui – Cambodia – Angkor Temples with tahitian friends
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6 mois de prison pour avoir violenté un surveillant de Nuutania
Le détenu, soupçonné par ailleurs de s'être radicalisé à l'islam, s'est présenté à la barre en comparution immédiate ce jeudi après-midi pour d'autres faits de violence sur les surveillants pénitentiaires de Nuutania. polynesie1ere.fr, Maruki Dury
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The Islands of Tahiti – Duality – Embraced by Mana 2016
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Taekwondo – Raihau Chin : Le bilan de sa participation aux JO de Rio
http://www.tahiti-infos.com/photo/art/default/10177442-16594643.jpg?v=1473380388
Raihau Chin a fait fort cette année puisqu’il a obtenu le titre de champion de France 2016 dans la catégorie Elite en – de 74 kg, après avoir connu les affres des blessures à répétition. En 2010, Raihau Chin a rejoint Anne-Caroline Graffe au pôle France de l’INSEP, il a eu ainsi l’opportunité de faire partie de l’aventure olympique de Rio avec l’équipe de France en tant que préparateur.
Raihau Chin, 22 ans, a eu un parcours difficile puisqu’il a enchainé les blessures avant de parvenir à décrocher le titre de champion de France Elite 2016 dans la catégorie – de 74 kg. Il a pu se rétablir tout juste pour obtenir le titre mais pas assez tôt pour pouvoir faire partie des sélectionnés, qui se préparent bien avant l’échéance des Jeux Olympiques. Il a tout de même pu faire partie de l’aventure en tant que préparateur.
Les Jeux Olympiques de Rio se sont déroulés du 5 au 21 août, le bilan de l’équipe de France de taekwondo a été mitigé avec une seule médaille d’argent obtenue par Haby Niaré contre les deux médailles obtenues à Londres en 2012 par Marlène Harnois et Anne Caroline Graffe. La Tahitienne n’a pas combattu cette fois-ci puisque la titulaire Gladys Epangue était présente. SB
Les Jeux Olympiques de Rio se sont déroulés du 5 au 21 août, le bilan de l’équipe de France de taekwondo a été mitigé avec une seule médaille d’argent obtenue par Haby Niaré contre les deux médailles obtenues à Londres en 2012 par Marlène Harnois et Anne Caroline Graffe. La Tahitienne n’a pas combattu cette fois-ci puisque la titulaire Gladys Epangue était présente. SB
Raihau Chin, 22 ans, en interview exclusive :
Comment as-tu pu faire partie de l’aventure ?
« Avant mes blessures de 2014, je faisais déjà partie du collectif olympique car moi aussi j’avais mes chances pour RIO. J’étais bien lancé, mais les blessures m’ont définitivement stoppé dans ma course à la qualification. En janvier, j’ai fait mon retour sur les tatamis, avec quelques lacunes mais j’ai très vite retrouvé mon niveau, gagné les championnats de France et j’ai pu être sélectionné pour les championnats d’Europe dans la foulée. »
« Mon panel technique étant quasi complet, je fus un candidat idéal pour la préparation des sélectionnés olympiques car je pouvais à la fois travailler avec la plus légère comme avec le plus lourd et j’avais une certaine facilité à mimer les potentiels adversaires qu’ils allaient rencontrer à Rio. »
Comment s’est passé le quotidien ?
« Le quotidien pendant les JO n’a pas été facile car en tant que partenaire, il faut être capable d’accepter de prendre des coups sans pouvoir vraiment en rendre mais surtout il faut gérer la frustration de se sentir si proche du rêve olympique, sans pouvoir réellement avoir l’opportunité de le concrétiser. J’ai tout de même beaucoup appris car en simulant le jeu des adversaires, j’appliquais l’ensemble de leurs points forts/faibles ; je pouvais donc m’en inspirer et compléter le mien. »
Représenter Tahiti à travers la France et l’Insep ?
« Représenter toute une nation, y compris nos îles, est quelque chose de grandiose. C’est une grande fierté pour moi de porter les couleurs de la France et aussi celles du Fenua lors de chaque compétition auxquelles je participe. Mon rêve serait de faire le tour de l’aire de combat à Tokyo en 2020 avec le drapeau tahitien et le drapeau français, après ma victoire en finale. »
Le bilan de la délégation française de taekwondo ?
Comment as-tu pu faire partie de l’aventure ?
« Avant mes blessures de 2014, je faisais déjà partie du collectif olympique car moi aussi j’avais mes chances pour RIO. J’étais bien lancé, mais les blessures m’ont définitivement stoppé dans ma course à la qualification. En janvier, j’ai fait mon retour sur les tatamis, avec quelques lacunes mais j’ai très vite retrouvé mon niveau, gagné les championnats de France et j’ai pu être sélectionné pour les championnats d’Europe dans la foulée. »
« Mon panel technique étant quasi complet, je fus un candidat idéal pour la préparation des sélectionnés olympiques car je pouvais à la fois travailler avec la plus légère comme avec le plus lourd et j’avais une certaine facilité à mimer les potentiels adversaires qu’ils allaient rencontrer à Rio. »
Comment s’est passé le quotidien ?
« Le quotidien pendant les JO n’a pas été facile car en tant que partenaire, il faut être capable d’accepter de prendre des coups sans pouvoir vraiment en rendre mais surtout il faut gérer la frustration de se sentir si proche du rêve olympique, sans pouvoir réellement avoir l’opportunité de le concrétiser. J’ai tout de même beaucoup appris car en simulant le jeu des adversaires, j’appliquais l’ensemble de leurs points forts/faibles ; je pouvais donc m’en inspirer et compléter le mien. »
Représenter Tahiti à travers la France et l’Insep ?
« Représenter toute une nation, y compris nos îles, est quelque chose de grandiose. C’est une grande fierté pour moi de porter les couleurs de la France et aussi celles du Fenua lors de chaque compétition auxquelles je participe. Mon rêve serait de faire le tour de l’aire de combat à Tokyo en 2020 avec le drapeau tahitien et le drapeau français, après ma victoire en finale. »
Le bilan de la délégation française de taekwondo ?
« Nous sommes quand même déçus du résultat car on s’est durement préparés et nous visions tous l’Or Olympique qui manque encore au taekwondo français. Nos ambitions étaient de revenir avec quatre médailles d’or, nous revenons aujourd’hui avec une d’argent. Ce n’est pas ce que l’on espérait mais cela reste une très belle médaille olympique. Félicitations à Haby Niaré, à nos trois sélectionnés, mais aussi à tous les athlètes français qui nous ont fait vibrer pendant ces Jeux. »
Partager l’aventure Olympique avec Anne Caroline a été enrichissant ?
« Anne Caroline m’avait beaucoup parlé de son expérience à Londres mais c’est en voyant de mes propres yeux les enjeux de l’événement que j’ai réellement réalisé l’impact de cette compétition dans l’esprit d’un athlète. Même si je n’ai pas eu la chance d’y participer, je suis très fier d’avoir pu m’y rendre. Cela me donne encore plus l’envie d’y retourner et de ramener cette médaille d’or tant convoitée. »
Quelques mots pour les lecteurs de Tahiti Infos ?
« Je donne rendez-vous à tous les Tahitiens en 2020 à Tokyo en espérant que je puisse me qualifier. Je voudrais remercier mon premier entraineur Joe Kiihapaa et son frère Jean qui m’ont permis d’être à ce niveau aujourd’hui, sans oublier mes parents qui ont toujours cru en moi, la fédération française de Taekwondo et mes coéquipiers d’entraînements. Un grand merci à Air Tahiti Nui qui m’offre la possibilité de rentrer au Fenua refaire le plein d’énergie. » Propos recueillis par SB
Tahiti-Infos, le site N°1 de l’information à Tahiti
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Carnet de voyage – Alexander Pearce, le cannibale de Tasmanie que personne ne crut…
http://www.tahiti-infos.com/photo/art/default/10176574-16592923.jpg?v=1473370031
AUSTRALIE, le 8 septembre 2016. Missionnaires, explorateurs, entrepreneurs… La galerie de portraits que nous offre l’histoire de l’Océanie est riche de personnages hauts en couleur et pour certains dignes d’éloges. Mais il y a aussi, dans ces personnalités incontournables, des individus nettement moins fréquentables, comme Alexander Pearce, qui reste, aujourd’hui encore, le pire cannibale que la Tasmanie a connu. Quand il s’évada, par deux fois, il mangea ses compagnons pour survivre ; mais, même après avoir avoué ses crimes, il ne fut pas cru !
Notre histoire se déroule en Tasmanie, au sud de l’Australie, mais elle commence en réalité en Irlande ; en 1790, alors que la France est en ébullition, le petit Alexander Pearce voit le jour dans le comté de Monaghan ; son père est laboureur, c’est dire qu’il n’y a guère d’argent qui rentre à la maison, pas assez pour offrir au jeune enfant une éducation de gentleman.
Voleur de chaussures
On ne sait rien de très précis du passé du jeune Alexander, sinon qu’il fut condamné à la déportation en Australie par un tribunal d’Armagh en 1819 (il avait donc alors 29 ans), pour le vol de six paires de chaussures. Ce n’était pas le vol d’un homme affamé, mais le forfait d’un voleur “professionnel”.
Pearce (parfois orthographié Pierce), était une forte tête. Il ne payait pas de mine, mesurant tout juste 1m 60, taille en dessous de la moyenne à l’époque. Après les vols, il fut condamné à sept ans d’enfermement ; mais il n’entendait pas rester en prison ; il acquit la réputation d’un perpétuel candidat à l’évasion et s’illustra très rapidement après sa condamnation à l’exil en Australie. En un peu plus d’un an après son arrivée sur la côte est de la Tasmanie, il cumulait déjà deux tentatives d’évasion.
En rébellion permanente
Face à ce cas de résistance à l’autorité et de permanente rébellion, l’administration décida de l’envoyer sur la côte ouest de ce que l’on appelait alors encore l’île de Van Diemen, au sein de l’établissement pénal implanté dans le vaste site naturel de Macquarie Harbour, sur la toute petite île de Sarah.
Là, c’était certain, Pearce serait bien obligé de se tenir tranquille. Sauf que ce cabochard d’Irlandais ne supporta pas les conditions de détention de Sarah Island, bien pires que ce qu’il avait déjà connu et, une fois de plus, il prit la décision de mettre fin à son calvaire : il avait une deuxième bonne raison de se faire la belle, il avait écopé d’une nouvelle peine d’enfermement après la capture ayant suivi sa dernière évasion et il était condamné, il le savait, à ne sortir de cellule que les pieds devant.
Le plus horrible des bagnes
Sarah Island passait, à l’époque, pour être le plus récent et le plus horrible des bagnes anglais, réservé aux récidivistes notoires ; violences permanentes, nourriture insuffisante, taches harassantes, humiliations quotidiennes, les détenus vivaient l’enfer et généralement ne tenaient pas le rythme bien longtemps. Pour s’évader, Pearce avait besoin de complices ; c’est à huit qu’ils prirent finalement la clé des champs en 1822, six semaines seulement après l’arrivée à Sarah Island du petit Irlandais, tous bien décidés à ne pas être repris, quel que soit le prix à payer. Et ce prix allait se révéler très vite monstrueusement élevé…
Le 20 septembre 1822, sur le site de coupe et de préparation des billes de pin de Huon, superbe bois jaune imputrescible, les huit complices avaient prévu de s’emparer d’un navire baleinier à l’ancre ; à huit, ils se faisaient fort de gagner la pleine mer et de faire voile en direction du nord, vers l’Asie où ils comptaient se réfugier, probablement dans un comptoir hollandais.
Tout se passa ce jour-là à peu près comme ils l’escomptaient, sauf qu’ils ne furent pas capables de gagner la pleine mer ; ils s’échouèrent et se mirent alors en route dans une impénétrable forêt humide et froide.
Seule ressource, la chair humaine !
Face à l’inconnu, les huit hommes foncèrent droit devant, tentant de se diriger vers la côte est, à travers ce qui est demeuré l’une des forêts primaires les plus denses et les plus difficiles à parcourir. Ils n’avaient pas de vivres, et seule l’eau ne leur manquait pas tant la région est humide et pluvieuse. Avancer dans un tel enfer vert et froid nécessitait de leur part des efforts surhumains et donc une nourriture en conséquence.
Après huit jours de fuite en avant, sans rien avoir à se mettre sous la dent, épuisés, les huit hommes comprirent que leur seule nourriture possible était la chair humaine, celle qu’ils avaient encore sur les os.
Sans qu’ils ne sachent vraiment pourquoi, ils fondirent tous sur le malheureux Alexander Dalton, qui aurait été plus ou moins candidat à la mort, tant il était épuisé.
Evidemment, le repas permit de caler les estomacs, mais un tel acte laissa des traces ; après l’écœurant festin, tout le monde observait tout le monde, chacun se demandant qui serait le prochain à figurer au menu. Deux hommes, Edward Brown et William Kennerly, décidèrent de ne pas prendre le risque d’être les suivants sur la liste ; ils s’échappèrent au petit matin dans la forêt, sans demander leur reste. Il parvinrent à retrouver la côte de Macquarie Harbour, furent repris, mais moururent tout de même des suites de leur épuisante cavale.
Effrayante et macabre cuisine
De huit, les fuyards n’étaient plus que cinq à poursuivre leur périple. Un ancien marin, Robert Greenhill, avait pris la tête de la petite colonne, naviguant à l’estime.
Les fuyards tinrent 42 jours dans le labyrinthe vert. Evidemment, il fallait manger et pour manger, il fallait éliminer le plus malade et le plus affaibli, celui qui ne pourrait pas se défendre arrivé à l’heure du sacrifice. La boucherie se poursuivit donc sans que rien ne vienne troubler la bonne conscience des marcheurs : Thomas Bodenham et John Mather payèrent ainsi de leur vie la fringale de leurs compagnons ; d’après le témoignage de Pearce, ce fut incontestablement Greenhill qui fut le plus actif en termes de barbarie, mais l’Irlandais prit largement part à cette effrayante et macabre cuisine.
A ce propos, grâce à Pearce, on sait que la viande était mangée tantôt cuite, tantôt crue, quand le temps ne permettait pas de faire un feu ; tout y passait, la chair des muscles, mais aussi les organes internes, les entrailles. Il ne s’agissait pas de laisser perdre quoi que ce soit !
Les deux derniers, face à face
Manque de chance pour l’avant-dernier homme, Matthew Travers, un serpent venimeux le mordit au talon et la plaie s’infecta très rapidement. Pearce et Greenhill n’avaient d’autre arme qu’une hache et Travers, délirant et fiévreux, demanda à être achevé tant il souffrait. Greenhill et Pearce attendirent que le malheureux s’endorme pour lui fracasser le crâne et le dévorer.
Ne restait plus alors que deux affamés prêts à se jeter l’un sur l’autre pour manger à sa faim, même si la seule chair humaine ne suffisait pas à régénérer leurs forces dans un tel environnement.
Qui était le chat, qui était la souris ?
Pendant huit jours, la question resta en suspend, les deux bagnards sachant que le premier qui s’endormirait serait impitoyablement croqué. Pearce, nous l’avons dit, ne payait pas de mine, mais il était solide, trapu et résistant. Totalement épuisé, Greenhill ferma les yeux le premier ; il ne devait plus les rouvrir, Pearce le tuant immédiatement pour se repaître de sa chair. Monstrueux repas en solitaire…
Recherché, capturé et livré
Avec cette provision de viande fraîche, Pearce trouva la force de terminer sa traversée et de se réfugier chez un éleveur de moutons, lui-même ancien bagnard qui accepta de le cacher plusieurs semaines, durant lesquelles l’Irlandais put se refaire une santé, cette fois-ci en mangeant du mouton et des légumes… Mais pour cela, Pearce dut voler dans les fermes environnantes, tuer du bétail, se faire remarquer. Le voleur fut recherché, capturé et livré aux autorités.
Se sachant condamné à retourner à Sarah Island, Pearce voulut-il en finir une bonne fois pour toutes ? Toujours est-il qu’interrogé sur ses camarades évadés, il se mit à table, sans jeu de mots, et avoua tout ; même le pire, même le plus atroce, avec force détails.
A la surprise totale de Pearce, personne, au niveau des autorités anglaises, ne lui accorda le moindre crédit. Ce que disait ce fanfaron de bagnard ne pouvait être qu’une énorme supercherie. Personne ne mangerait ses compagnons, personne ne les tuerait et ne les découperait pour les dévorer crus ou grillés. Le magistrat et pasteur qui recueillit ses confessions, le révérend Robert Knopwood (1763-1838), n’en crut pas ses oreilles, pas plus que tous les autres maillons de la chaîne administrative de Tasmanie. Pearce mentait effrontément, pour ne pas révéler où ses camarades s’étaient réfugiés, car ils devaient tous être bien vivants et cachés.
Retour à la case départ
Verdict incontournable, il n’avait tué personne en s’évadant et en tant que récidiviste, il se vit reconduire à la prison de Sarah Island, une prison au sein de laquelle il fut reçu comme une grande vedette par les autres prisonniers, ayant réussi à tenir 113 jours hors de portée de ses geôliers.
Pour l’Irlandais, ce retour à la case départ fut une terrible déception ; il n’était pas question pour lui de rester dans ce mouroir. Quelques mois après son retour en prison, il déjoua à nouveau la surveillance de ses gardiens et s’échappa, accompagné d’un seul autre camarade, le jeune et malheureux Thomas Cox. Malheureux, car son destin allait évidemment être tragique aux côtés du monstre qu’était devenu Pearce. Cette fois-ci, les deux hommes restèrent sur la côte ouest de la Tasmanie où ils ne tardèrent pas à tourner en rond, leurs poursuivants aux trousses.
Des morceaux de chair humaine
Après onze jours de fuite éperdue, Pearce fut à nouveau cerné par la troupe. Cox avait disparu. Arrêté, Pearce fut immédiatement fouillé et ceux qui le traquaient eurent bien du mal à croire à ce qu’ils trouvèrent dans le bagage du fugitif : horrifiés, ils découvrirent des morceaux de viande, de la chair humaine, celle de Cox avoua le cannibale, cette fois-ci enfin pris au sérieux.
“Cox ne savait pas nager” expliqua Alexander Pearce et cette découverte l’aurait mis dans une telle rage qu’il l’aurait battu à mort, furieux de s’être encombré d’un compagnon si peu doué pour la liberté. Une fois le cadavre du jeune évadé à sa disposition, par envie, par souci de se constituer une réserve de vivres, par goût aussi, Pearce le dépeça, le mangea et stocka la chair qu’il put conserver avec lui. En fait, il avoua tout simplement avoir pris goût à cette nourriture. Le fils d’un pauvre laboureur irlandais était devenu, par habitude, un psychopathe irrécupérable…
Daniel Pardon
Coupable et pendu
Quelques temps plus tard, lors de son procès, Alexander Pearce donna l’impression de se repentir ou, à tout le moins, d’avoir pris conscience de la gravité de ses actes. Après la découverte des restes de Cox, ses aveux concernant ses premiers camarades furent enfin pris en compte. Face au procureur Joseph Tice Gellibrand, Pearce ne se défendit pas. Il n’avait aucune circonstance atténuante et il le savait. Il savait aussi que le président de la cour, le juge John Lewes Pedder, ne lui ferait aucun cadeau, l’homme étant réputé intransigeant (comment ne pas l’être face à un cas semblable ?).
Nous étions le 20 juin 1824, l’hiver austral s’était installé sur la Tasmanie, le procès n’allait pas durer des mois. De fait, la sentence fut finalement prononcée à la mi-juillet 1824 et Alexander Pearce fut pendu à 9 heures du matin, le 19 juillet 1824, dans la cour de la prison de Hobart, non sans avoir reçu les derniers sacrements (il était catholique) du père Philip Conolly, qui ne put que recommander à Dieu l’âme de cette brebis singulièrement noire dans le troupeau de ses ouailles.
Au moment du jugement, il avait été précisé que le corps du monstre ne connaîtrait pas le repos. A cette époque, la criminologie en était à ses balbutiements et la science voulait savoir si, physiquement, un cannibale portait des marques le distinguant des citoyens “normaux”.
Pour cela, le corps du condamné fut à son tour dépecé, coupé, charcuté, tranché, disséqué en tous sens et toutes les données recueillies furent savamment enregistrées, sans d’ailleurs que quoi que ce soit put mettre en exergue une possible prédestination au cannibalisme.
Tahiti-Infos, le site N°1 de l’information à Tahiti
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Cérémonie d’ouverture du 47ème Forum des îles du Pacifique
http://www.tahitinews.co/ceremonie-douverture-du-47eme-forum-des-iles-du-pacifique/
Le président de la Polynésie française, Edouard Fritch, a assisté, à cérémonie d’ouverture du 47ème Forum des îles du Pacifique qui s’est déroulée sur l’île de Pohnpei, dans les Etats fédérés de Micronésie, jeudi en fin de journée, en heure locale. Celle-ci comprenait plusieurs parties, incluant chants et danses de cette partie Nord-Ouest du Pacifique, et un traditionnel partage du kava entre les chefs d’Etats et territoires de la région. La réunion du Forum ayant officiellement commencé, la session plénière et les travaux de cette organisation régionale débuteront vendredi, à 9 h du matin, en heure locale. Le président Fritch doit, à cette occasion, prononcer un discours devant les différents chefs d’exécutifs présents, dont le président des Etats fédérés de Micronésie, Peter Christian, qui préside aux travaux de ce 47ème Forum. La Polynésie française est depuis plus de dix ans membre associé de cette organisation régionale et aspire désormais à passer au statut de membre à part entière. Ce thème, ainsi que de nombreuses problématiques régionales (questions environnementales, pêche et surveillance maritime, par exemple), seront évoqués jusqu’au terme de la réunion du Forum prévu à Pohnpei le samedi 11 septembre, après l’habituelle retraite des chefs d’exécutif programmée pour le vendredi 9 […]
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Forum des îles du Pacifique : Edouard Fritch assiste à la cérémonie d'ouverture
Le président de la Polynésie française, Edouard Fritch, a assisté à la cérémonie d’ouverture du 47ème Forum des îles du Pacifique. La cérémonie s’est déroulée sur l’île de Pohnpei, dans les Etats fédérés de Micronésie, jeudi en fin de journée, en heure locale. polynesie1ere.fr, communiqué de la Présidence
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Pullman Paris Bercy recrute Chef de rang tournant room-service
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Gstaad Palace recrute Chef de cuisine
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Handicap : se reconstruire avec le sport
Les jeux paralympiques viennent de débuter à Rio de Janeiro. Ils marquent une formidable occasion de découvrir des athlètes dont les performances forcent le respect.
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Radisson Plaza Resort Tahiti
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E hoa & Otea Bringue – Danse tahitienne Au Petit Tahiti
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Taure’a time, les jeunes sont dans la place
http://la1ere.francetvinfo.fr/polynesie/tahiti/taure-time-les-jeunes-sont-dans-la-place-395393.html
Taure'a time, la nouvelle émission de Polynésie 1ère radio destinée aux jeunes s’est décentralisée pour la première fois au centre ville de Papeete.
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Welcome to the Islands of Tahiti – Ia ora na, Maeva e Manava
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