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Renaissance Paris Vendôme Hôtel recrute Chef de partie
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Natation – Tahiti Swimming Experience : Interview exclusive de Stéphane Debaere
http://www.tahiti-infos.com/photo/art/default/10285633-16800361.jpg?v=1474918449
La Polynésie aura la chance de recevoir plusieurs champions olympiques lors de l’événement « Tahiti Swimming Experience » prévu du 5 au 16 octobre 2016 à Tahiti. C’est le lauréat du concours Tahiti Infos ATN Challenge 2016 Stéphane Debaere, en collaboration avec la fédération tahitienne de natation, qui est à l’origine de ce projet qui devrait ravir les nombreux fans de natation de Polynésie. SB
Parole à Stéphane Debaere :
Comment cette aventure des nageurs olympiques à Tahiti est née et a pu se concrétiser ?
« Tout a commencé chez Air Tahiti Nui où à chacun de mes passages à Tahiti on me demandait « Quand est ce que tu reviens avec Camille Lacourt et Florent Manaudou ? ». Les enfants me demandaient la même chose. J’ai donc mûri et construit cette aventure avec le soutien de fidèles et solides partenaires que je remercie sincèrement comme la fédération tahitienne de natation qui a porté le projet à Air Tahiti Nui, South Pacific Management, le Ministère de Sports, le Ministère du Tourisme, Tahiti Tourisme, les sponsors privés, la petite équipe dévouées à cette aventure, sans oublier mon agent et mes parents. »
Peux-tu les présenter brièvement, leurs caractéristiques, toi qui les connais personnellement ?
« La particularité de mon team est d’avoir pu réunir des champions de diverses nationalité : France, Suède, Pays-Bas et USA. En sus de leurs élogieux palmarès respectifs (Monde, Europe, Commonwealth, National), ils ont tous été médaillés olympiques, soit le summum pour tout sport. En parallèle, ils ont tous une grande notoriété et sont indiscutablement appréciés par le grand public. Enfin, ils sont tous sympas, accessibles et surtout dans les starting blocks pour venir découvrir notre Fenua et rencontrer les Polynésiens. »
Par rapport aux autres sportifs, comment se démarque un nageur ?
« Je dirai qu’un nageur bénéficie généralement d’un body sculpt plutôt naturellement avantageux, chose qui ne déplaira pas à la gente féminine (rires). Si un nageur reste étanche après toutes ces années passées dans l’eau, cela ne rend pas pour autant hermétique aux choses du monde et de la vie. Cela dit, notre amour pour l’eau sera encore présent puisque découvrir notre merveilleuse destination signifie découvrir l’océan pacifique, nos magnifiques lagons ou encore les nombreux mystères cachés au cœur des îles. »
Quel va être le programme ? Est-il vrai que l’aspect social va être important, que vous allez aller à la rencontre des jeunes de ce Pays ?
« Le programme reste secret. En toute honnêteté, moi même je ne le connais pas en détail. Pour les athlètes ce sera donc une surprise totale, au jour le jour. L’aspect social est effectivement très important. J’ai volontairement choisi ces athlètes pour leur accessibilité. Les rencontres, les partages, les émotions seront au cœur du séjour. L’objectif est donc double : d’une part faire découvrir aux athlètes mon Pays, ses richesses, sa beauté, sa culture et d’autre part présenter aux Polynésiens ces athlètes sous un nouveau jour. »
Comment le team a vécu l’expérience olympique ?
« Cette question pourra leur être posée directement. Cela dit, tous ont vécu une belle expérience à Rio et je pense qu’aucun d’entre eux ne vous dira le contraire. Les Jeux restent une compétition et une aventure à part entière. »
L’idée de leur faire découvrir ton Pays cela t’inspire quoi ?
« Un rêve qui se réalise. Un projet pas facile à construire. Une expérience de vie supplémentaire. Mais avant tout une immense fierté pour l’Ambassadeur de ce Pays et d’Air Tahiti Nui que je suis. J’ai hâte d’y être. » Propos recueillis par SB
Comment cette aventure des nageurs olympiques à Tahiti est née et a pu se concrétiser ?
« Tout a commencé chez Air Tahiti Nui où à chacun de mes passages à Tahiti on me demandait « Quand est ce que tu reviens avec Camille Lacourt et Florent Manaudou ? ». Les enfants me demandaient la même chose. J’ai donc mûri et construit cette aventure avec le soutien de fidèles et solides partenaires que je remercie sincèrement comme la fédération tahitienne de natation qui a porté le projet à Air Tahiti Nui, South Pacific Management, le Ministère de Sports, le Ministère du Tourisme, Tahiti Tourisme, les sponsors privés, la petite équipe dévouées à cette aventure, sans oublier mon agent et mes parents. »
Peux-tu les présenter brièvement, leurs caractéristiques, toi qui les connais personnellement ?
« La particularité de mon team est d’avoir pu réunir des champions de diverses nationalité : France, Suède, Pays-Bas et USA. En sus de leurs élogieux palmarès respectifs (Monde, Europe, Commonwealth, National), ils ont tous été médaillés olympiques, soit le summum pour tout sport. En parallèle, ils ont tous une grande notoriété et sont indiscutablement appréciés par le grand public. Enfin, ils sont tous sympas, accessibles et surtout dans les starting blocks pour venir découvrir notre Fenua et rencontrer les Polynésiens. »
Par rapport aux autres sportifs, comment se démarque un nageur ?
« Je dirai qu’un nageur bénéficie généralement d’un body sculpt plutôt naturellement avantageux, chose qui ne déplaira pas à la gente féminine (rires). Si un nageur reste étanche après toutes ces années passées dans l’eau, cela ne rend pas pour autant hermétique aux choses du monde et de la vie. Cela dit, notre amour pour l’eau sera encore présent puisque découvrir notre merveilleuse destination signifie découvrir l’océan pacifique, nos magnifiques lagons ou encore les nombreux mystères cachés au cœur des îles. »
Quel va être le programme ? Est-il vrai que l’aspect social va être important, que vous allez aller à la rencontre des jeunes de ce Pays ?
« Le programme reste secret. En toute honnêteté, moi même je ne le connais pas en détail. Pour les athlètes ce sera donc une surprise totale, au jour le jour. L’aspect social est effectivement très important. J’ai volontairement choisi ces athlètes pour leur accessibilité. Les rencontres, les partages, les émotions seront au cœur du séjour. L’objectif est donc double : d’une part faire découvrir aux athlètes mon Pays, ses richesses, sa beauté, sa culture et d’autre part présenter aux Polynésiens ces athlètes sous un nouveau jour. »
Comment le team a vécu l’expérience olympique ?
« Cette question pourra leur être posée directement. Cela dit, tous ont vécu une belle expérience à Rio et je pense qu’aucun d’entre eux ne vous dira le contraire. Les Jeux restent une compétition et une aventure à part entière. »
L’idée de leur faire découvrir ton Pays cela t’inspire quoi ?
« Un rêve qui se réalise. Un projet pas facile à construire. Une expérience de vie supplémentaire. Mais avant tout une immense fierté pour l’Ambassadeur de ce Pays et d’Air Tahiti Nui que je suis. J’ai hâte d’y être. » Propos recueillis par SB
Tahiti-Infos, le site N°1 de l’information à Tahiti
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Un jeune surfeur blessé par un requin en Australie
http://www.tahiti-infos.com/photo/art/default/10284151-16797413.jpg?v=1474902829
http://www.tahiti-infos.com/Un-jeune-surfeur-blesse-par-un-requin-en-Australie_a153183.html
Un surfeur de 17 ans a été blessé à la hanche lundi matin par un requin sur la côte est de l’Australie, a annoncé la police.
L’attaque est survenue à Lighthouse Beach, un spot de surf prisé de Ballina, localité pittoresque de la côte orientale.
« Le jeune est parvenu à sortir de l’eau et une infirmière qui se trouvait sur la plage lui a prodigué de premiers soins », a indiqué dans un communiqué la police de l’Etat de Nouvelle-Galles du Sud, dont Sydney est la capitale.
« Il a été mordu une fois à la hanche et a été admis dans un état stable à l’hôpital de Lismore », une ville du nord-est de l’Etat.
La police a fermé toutes les plages de Ballina pendant 24 heures, malgré les vacances scolaires.
Quatorze personnes ont été attaquées par des requins en Nouvelles-Galles du Sud en 2015, alors que trois incidents seulement avaient été comptabilisés l’année précédente, selon les statistiques du Zoo de Taronga de Sydney.
La plupart de ces attaques sont survenues le long de la bande côtière de 60 kilomètres allant de Byron Bay à Evans Head, dans le nord de l’Etat. Ballina se trouve à mi-chemin entre les deux localités, à 740 kilomètres au nord de Sydney.
Tadashi Nakahara, un surfeur japonais, est mort à Ballina en février 2015 après avoir eu les jambes arrachées par un grand blanc – une espèce protégée – et des voix se sont élevées pour demander l’abattage des squales.
D’après l’Université de Floride, 98 attaques de requins se sont produites dans le monde en 2015, un record. L’île française de la Réunion a subi proportionnellement le plus d’attaques mortelles, avec deux sur six recensées dans le monde.
L’explication de cette recrudescence ne fait pas consensus. Pour George Burgess, directeur de cette université qui recueille les statistiques sur le sujet depuis 1958, l’augmentation pourrait s’expliquer par la hausse des températures des océans due au changement climatique.
Celle-ci a contribué à ce que les squales s’aventurent dans des régions plus au sud et plus au nord, élargissant les zones où ils vivent et se nourrissent.
La croissance démographique est également en cause, juge-t-il, car davantage de gens se baignent.
avec AFP
Tahiti-Infos, le site N°1 de l’information à Tahiti
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La convention 2017-2027 relative à l’éducation dans les tuyaux de l’assemblée
Les membres de la commission de l’éducation, de l’enseignement supérieur, de la jeunesse et des sports ont examiné ce jour,
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SUP/Prone – Pacific Paddle Games : « Ce n’est pas aux athlètes de financer leur sélection »
http://www.tahiti-infos.com/photo/art/default/10280327-16788919.jpg?v=1474848691
Stéphan Lambert, gérant de Kainalu XT :
Le team représente l’élite de la discipline ?
« Nous avons construit un championnat pour créer une hiérarchie dans laquelle nous avons puisé un certain nombre d’athlètes dans le but de participer à un événement international avec lequel on s’associe pour faire des échanges qui marchent des deux côtés, dans ce cas les Pacific Paddle Games. »
« Le championnat de Tahiti de la fédération tahitienne de surf, en SUP et en prone, a comporté pas moins de 14 évènements, on a retenu un Top 10 et les 5 dernières places ont été déterminées à Papara samedi. Cela donne une légitimité indiscutable aux athlètes sélectionnés. »
« Cela donne aussi un sens à pourquoi un athlète participe à un championnat. Il faut qu’un championnat donne lieu à une récompense qui est pour un athlète de pouvoir aller s’exprimer à l’extérieur en ayant une chance de se faire remarquer. Les Pacific Paddle Games, pour le SUP, on ne peut pas trouver mieux. »
Et l’athlète est quasi totalement pris en charge ?
« C’est tout le but, parce que faire des « teams Tahiti », cela a déjà été fait depuis des années mais si on creuse, qui finance les déplacements ? Si c’est l’athlète, il suffit qu’une bande de copains passe à travers une agence de voyage et cela devient un trip sportif qui n’est pas représentatif de l’élite, cela sera représentatif du pouvoir d’achat des parents de certains athlètes. Ce n’est pas à l’athlète à financer sa sélection. C’est le sélectionneur qui doit financer le sélectionné. »
« On a un groupement avec le transporteur aérien Air Tahiti Nui, la fédération tahitienne de surf qui investit dans le projet et un prestataire de service Kainalu XT qui bouche les trous avec les partenaires privés pour que l’athlète n’ait quasiment rien à mettre de sa poche. 10 ou 15 000 fcp pour tout le déplacement, c’est un maximum qui doit leur être demandé. »
C’est une synergie entre un financement fédéral, Air Tahiti Nui et les entreprises privées démarchées par KXT ?
« Les partenaires privés vont soutenir le sport polynésien à partir du moment où il y a une crédibilité dans le mode de sélection qui sort les meilleurs éléments. La confiance s’installe car le partenaire privé va s’y retrouver. La compagnie ATN également a besoin d’une légitimité dans la sélection qui va proposer les meilleurs atouts pour un meilleur retour. »
Le choix de l’événement est également capital ?
« C’est capital si on veut un retour sur investissement important. Si on investit, c’est au bénéfice de l’athlète et indirectement au bénéfice du fenua. Il faut impérativement trouver des évènements qui bénéficient d’une grosse couverture médiatique, qui attirent les meilleurs athlètes de la discipline auxquels nos champions seront confrontés mais aussi les plus gros sponsors du buisness au monde, les plus gros producteurs de planches. Et s’ils ont une chance de se faire remarquer, c’est vraiment là. Un jeune Polynésien pourrait se voir proposer un contrat très rapidement. »
Samedi à Papara, la sélection tahitienne de stand up padle et prone a été finalisée. 15 athlètes vont participer à la plus grosse compétition de SUP Race au monde, les « Pacific Paddle Games ». Pour Stéphan Lambert, un des instigateurs, cette sélection est légitime car issue d’un long championnat. Les athlètes n’auront quasiment rien à débourser lors de leur déplacement grâce à un système qui se veut adapté aux besoins de notre élite sportive. La compétition aura lieu du 30 septembre au 2 octobre à Dana Point, en Californie.
Stéphan Lambert a déjà prouvé sa volonté d’innover, sa volonté de relier le sport à la culture, à la santé et au tourisme. Pour Stéphan, « Certains sélectionnés de diverses disciplines se demandent parfois s’il conservent leur t-shirt « Tahiti » sur les podiums, alors qu’ils ont financé eux-mêmes les frais annexes à leur déplacement. » Cet état de fait l’a poussé à concevoir un système innovant pour optimiser les résultats des sportifs polynésiens et les retombées inhérentes.
Ces questions d’accompagnement des sportifs polynésiens ont été soulevées dernièrement à travers un article Tahiti Infos Sports. Stéphan Lambert a mis en place un système qui a su répondre à une certaine problématique d’accompagnement des athlètes, à travers une synergie entre une fédération de tutelle, la compagnie Air Tahiti Nui et sa société privée Kainalu XT qui gère partenaires privés, contacts avec les athlètes et les organisateurs d’évènements et couverture médiatique.
En gros, la nouveauté c’est qu’il a su convaincre la fédération de tutelle, la fédération tahitienne de surf et son nouveau président Lionel Teihotu, de financer en partie les frais sur place des athlètes. Ainsi la sélection est optimisée, composée de presque tous les meilleurs athlètes de la discipline et pas de ceux qui ont les moyens de financer leurs frais sur place.
L’autre nouveauté a été de bien choisir l’événement sportif, en l’occurrence les « Pacific Paddle Games ». Prenant l’exemple des championnats du monde de surf ISA auquel Tahiti participe régulièrement, un événement de prestige où l’élite du sport Pro est absente, il met en avant la possibilité pour une fédération de mieux utiliser ses forces financières grâce au choix de l’événement qui proposera de meilleures retombées pour les athlètes, pour les sponsors et pour le Pays.
C’est une première, alors que les années passées les Tahitiens ont participé de manière disparate et à leurs frais aux « Pacific Paddle Games » qui est la compétition de SUP Race la plus importante au monde, là c’est une véritable armada de Tahitiens qui va débarquer en Californie, tous frais pris en charge. Cette participation en masse risque de faire du bruit dans le monde du SUP Race. Les athlètes seront également dans de bonnes dispositions pour performer, au sein d’un team composé de l’élite tahitienne de la discipline.
Le « système » en est à ses débuts, quelques pointures du SUP Race et du Prone n’ont pas pu faire partie de la sélection pour questions d’organisation personnelle, comme Steeve Teihotaata, Rete Ebb ou encore Bruno Tauhiro. SB
Ces questions d’accompagnement des sportifs polynésiens ont été soulevées dernièrement à travers un article Tahiti Infos Sports. Stéphan Lambert a mis en place un système qui a su répondre à une certaine problématique d’accompagnement des athlètes, à travers une synergie entre une fédération de tutelle, la compagnie Air Tahiti Nui et sa société privée Kainalu XT qui gère partenaires privés, contacts avec les athlètes et les organisateurs d’évènements et couverture médiatique.
En gros, la nouveauté c’est qu’il a su convaincre la fédération de tutelle, la fédération tahitienne de surf et son nouveau président Lionel Teihotu, de financer en partie les frais sur place des athlètes. Ainsi la sélection est optimisée, composée de presque tous les meilleurs athlètes de la discipline et pas de ceux qui ont les moyens de financer leurs frais sur place.
L’autre nouveauté a été de bien choisir l’événement sportif, en l’occurrence les « Pacific Paddle Games ». Prenant l’exemple des championnats du monde de surf ISA auquel Tahiti participe régulièrement, un événement de prestige où l’élite du sport Pro est absente, il met en avant la possibilité pour une fédération de mieux utiliser ses forces financières grâce au choix de l’événement qui proposera de meilleures retombées pour les athlètes, pour les sponsors et pour le Pays.
C’est une première, alors que les années passées les Tahitiens ont participé de manière disparate et à leurs frais aux « Pacific Paddle Games » qui est la compétition de SUP Race la plus importante au monde, là c’est une véritable armada de Tahitiens qui va débarquer en Californie, tous frais pris en charge. Cette participation en masse risque de faire du bruit dans le monde du SUP Race. Les athlètes seront également dans de bonnes dispositions pour performer, au sein d’un team composé de l’élite tahitienne de la discipline.
Le « système » en est à ses débuts, quelques pointures du SUP Race et du Prone n’ont pas pu faire partie de la sélection pour questions d’organisation personnelle, comme Steeve Teihotaata, Rete Ebb ou encore Bruno Tauhiro. SB
Stéphan Lambert, gérant de Kainalu XT :
Le team représente l’élite de la discipline ?
« Nous avons construit un championnat pour créer une hiérarchie dans laquelle nous avons puisé un certain nombre d’athlètes dans le but de participer à un événement international avec lequel on s’associe pour faire des échanges qui marchent des deux côtés, dans ce cas les Pacific Paddle Games. »
« Le championnat de Tahiti de la fédération tahitienne de surf, en SUP et en prone, a comporté pas moins de 14 évènements, on a retenu un Top 10 et les 5 dernières places ont été déterminées à Papara samedi. Cela donne une légitimité indiscutable aux athlètes sélectionnés. »
« Cela donne aussi un sens à pourquoi un athlète participe à un championnat. Il faut qu’un championnat donne lieu à une récompense qui est pour un athlète de pouvoir aller s’exprimer à l’extérieur en ayant une chance de se faire remarquer. Les Pacific Paddle Games, pour le SUP, on ne peut pas trouver mieux. »
Et l’athlète est quasi totalement pris en charge ?
« C’est tout le but, parce que faire des « teams Tahiti », cela a déjà été fait depuis des années mais si on creuse, qui finance les déplacements ? Si c’est l’athlète, il suffit qu’une bande de copains passe à travers une agence de voyage et cela devient un trip sportif qui n’est pas représentatif de l’élite, cela sera représentatif du pouvoir d’achat des parents de certains athlètes. Ce n’est pas à l’athlète à financer sa sélection. C’est le sélectionneur qui doit financer le sélectionné. »
« On a un groupement avec le transporteur aérien Air Tahiti Nui, la fédération tahitienne de surf qui investit dans le projet et un prestataire de service Kainalu XT qui bouche les trous avec les partenaires privés pour que l’athlète n’ait quasiment rien à mettre de sa poche. 10 ou 15 000 fcp pour tout le déplacement, c’est un maximum qui doit leur être demandé. »
C’est une synergie entre un financement fédéral, Air Tahiti Nui et les entreprises privées démarchées par KXT ?
« Les partenaires privés vont soutenir le sport polynésien à partir du moment où il y a une crédibilité dans le mode de sélection qui sort les meilleurs éléments. La confiance s’installe car le partenaire privé va s’y retrouver. La compagnie ATN également a besoin d’une légitimité dans la sélection qui va proposer les meilleurs atouts pour un meilleur retour. »
Le choix de l’événement est également capital ?
« C’est capital si on veut un retour sur investissement important. Si on investit, c’est au bénéfice de l’athlète et indirectement au bénéfice du fenua. Il faut impérativement trouver des évènements qui bénéficient d’une grosse couverture médiatique, qui attirent les meilleurs athlètes de la discipline auxquels nos champions seront confrontés mais aussi les plus gros sponsors du buisness au monde, les plus gros producteurs de planches. Et s’ils ont une chance de se faire remarquer, c’est vraiment là. Un jeune Polynésien pourrait se voir proposer un contrat très rapidement. »
Quelques mots sur ta structure privée Kainalu XT ?
« Entre le Waterman Tahiti Tour, les différents championnats de Polynésie de prone, de SUP, de bodysurf, le championnat de pirogue à voile, la société Kainalu XT participe directement ou indirectement à l’organisation de quasiment 45 évènements sportifs dans l’année. »
Air Tahiti Nui est un acteur important mais les choses ne pourrait-elles pas être améliorées du côté du gouvernement ?
« Certainement que l’accompagnement des fonds publics sur ce genre de projet est important mais on ne peut pas tout attendre de cela. C’est une aide au développement. C’est aussi aux fédérations, aux clubs de se prendre en charge, de trouver des investissements pour développer ce genre de projets. On ne peut demander aux gouvernements, aux différents ministères des sports, de financer à 100%, ce n’est pas leur rôle. »
« Par contre, qu’ils anticipent par rapport aux besoins spécifiques d’un athlète de haut niveau et qu’il puissent avoir une enveloppe dédiée, oui. C’est bien beau d’envoyer un athlète grâce à Air Tahiti Nui mais derrière il y a beaucoup de frais qui s’accompagnent. Si c’est à l’athlète de supporter ça, même avec le billet gratuit, il ne pourra pas. C’est dans ces moments qu’il faudrait rendre disponible une cagnotte au niveau ministériel qui permette aux projets d’aboutir. »
Des aides existent mais sont-elles adaptées ?
« Ca c’est l’administratif qui est propre à ce secteur et qui n’est pas du tout assez réactif pour répondre au monde réel du sport qui est en totale évolution. Les athlètes ont des périodes où ils s’expriment vraiment bien et donc tout de suite il faut rebondir pour qu’ils puissent s’exprimer sur un événement à l’international, en aucun cas ce sont des scénarios prévisibles trop en avance. »
« Les stratégies oui, peuvent être prévues même un an en avance, les gros objectifs qui permettent aux jeunes polynésiens de pouvoir s’exprimer à l’international doivent eux être définis en avance car il faut du temps pour les financer, pour s’entrainer, pour communiquer dessus. »
Un dernier mot, un remerciement ?
« Il y a peu d’entreprises locales qui ont besoin de communiquer à l’international. Alors accompagner un « Team Tahiti » pour briller dans un marché international cela va être difficile à trouver. Par contre, des entreprises locales qui accompagnent à leur niveau les sportifs, cela leur donne l’impression de faire partie d’un système qui prend soin de ces athlètes et ça c’est important. On a de la chance que la fédération tahitienne de surf et son nouveau président Lionel Teihotu décide d’inverser le mode de financement en investissant dans les projets. »
« Air Tahiti Nui et Torea Colas son directeur marketing sont incontournables et soutiennent tout le sport polynésien, en partenariat avec un prestataire de service KXT qui connaît le milieu et qui a les contacts avec les organisateurs d’évènements, les athlètes et les médias pour que les investisseurs privés aient un bon retour : Noni Energy qui est une petite boite mais qui est au support des polynésiens, Reef Tahiti, Vodafone et Isuzu. »
« Entre le Waterman Tahiti Tour, les différents championnats de Polynésie de prone, de SUP, de bodysurf, le championnat de pirogue à voile, la société Kainalu XT participe directement ou indirectement à l’organisation de quasiment 45 évènements sportifs dans l’année. »
Air Tahiti Nui est un acteur important mais les choses ne pourrait-elles pas être améliorées du côté du gouvernement ?
« Certainement que l’accompagnement des fonds publics sur ce genre de projet est important mais on ne peut pas tout attendre de cela. C’est une aide au développement. C’est aussi aux fédérations, aux clubs de se prendre en charge, de trouver des investissements pour développer ce genre de projets. On ne peut demander aux gouvernements, aux différents ministères des sports, de financer à 100%, ce n’est pas leur rôle. »
« Par contre, qu’ils anticipent par rapport aux besoins spécifiques d’un athlète de haut niveau et qu’il puissent avoir une enveloppe dédiée, oui. C’est bien beau d’envoyer un athlète grâce à Air Tahiti Nui mais derrière il y a beaucoup de frais qui s’accompagnent. Si c’est à l’athlète de supporter ça, même avec le billet gratuit, il ne pourra pas. C’est dans ces moments qu’il faudrait rendre disponible une cagnotte au niveau ministériel qui permette aux projets d’aboutir. »
Des aides existent mais sont-elles adaptées ?
« Ca c’est l’administratif qui est propre à ce secteur et qui n’est pas du tout assez réactif pour répondre au monde réel du sport qui est en totale évolution. Les athlètes ont des périodes où ils s’expriment vraiment bien et donc tout de suite il faut rebondir pour qu’ils puissent s’exprimer sur un événement à l’international, en aucun cas ce sont des scénarios prévisibles trop en avance. »
« Les stratégies oui, peuvent être prévues même un an en avance, les gros objectifs qui permettent aux jeunes polynésiens de pouvoir s’exprimer à l’international doivent eux être définis en avance car il faut du temps pour les financer, pour s’entrainer, pour communiquer dessus. »
Un dernier mot, un remerciement ?
« Il y a peu d’entreprises locales qui ont besoin de communiquer à l’international. Alors accompagner un « Team Tahiti » pour briller dans un marché international cela va être difficile à trouver. Par contre, des entreprises locales qui accompagnent à leur niveau les sportifs, cela leur donne l’impression de faire partie d’un système qui prend soin de ces athlètes et ça c’est important. On a de la chance que la fédération tahitienne de surf et son nouveau président Lionel Teihotu décide d’inverser le mode de financement en investissant dans les projets. »
« Air Tahiti Nui et Torea Colas son directeur marketing sont incontournables et soutiennent tout le sport polynésien, en partenariat avec un prestataire de service KXT qui connaît le milieu et qui a les contacts avec les organisateurs d’évènements, les athlètes et les médias pour que les investisseurs privés aient un bon retour : Noni Energy qui est une petite boite mais qui est au support des polynésiens, Reef Tahiti, Vodafone et Isuzu. »
La sélection est composée de 15 athlètes :
Niuhiti Buillard
Georges Cronsteadt
Lorenzo Bennett
Teva Poulain
Alexis Berthet
Keoni Sulpice
Tiavairau Chang
Puatea Ellis
Manatea Bopp-Dupont
Eric Léou-On
Patrick Vero
Keahi Agnieray
Maui Harehoe
Damien Girault
David Foster
Niuhiti Buillard
Georges Cronsteadt
Lorenzo Bennett
Teva Poulain
Alexis Berthet
Keoni Sulpice
Tiavairau Chang
Puatea Ellis
Manatea Bopp-Dupont
Eric Léou-On
Patrick Vero
Keahi Agnieray
Maui Harehoe
Damien Girault
David Foster
Team Manager Thierry Tching
Chef de délégation Stéphan Lambert
Tahiti-Infos, le site N°1 de l’information à Tahiti
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“Faa’a Feruri” jeudi 29 septembre consacré à la vallée d’Opunohu-Moorea
http://www.tahitinews.co/faaa-feruri-jeudi-29-septembre-consacre-a-la-vallee-dopunohu-moorea/
Pour cette sixième édition de « Faa’a Feruri », la commune de Faa’a accueillera Yannick Fer et Gwendoline Malogne-Fer dans le
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Un week-end de sport
http://la1ere.francetvinfo.fr/polynesie/tahiti/polynesie-francaise/un-week-end-de-sport-400749.html
En sport, il y avait du triathlon ce dimanche 25 sept dans les jardins de Paofai à Papeete.
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Invité du journal : Rony Tumahai, maire de Punaauia
Rony Tumahai était l’invité de l’hebdo. Le maire de Punaauia a confirmé son soutien à Patrick Howell en tant que candidat à l’investiture Tapura pour les prochaines législatives dans la troisième circonscription.
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450 000 Fcfp dérobés à l'agence Air Tahiti de Huahine
http://www.tahiti-infos.com/photo/art/default/10280617-16789594.jpg?v=1474855790
http://www.tahiti-infos.com/450-000-Fcfp-derobes-a-l-agence-Air-Tahiti-de-Huahine_a153163.html
PAPEETE, 25 septembre 2016 – L’agence Air Tahiti de l’aérodrome de Huahine a été victime d’un cambriolage dans la nuit de samedi à dimanche.
La brigade de gendarmerie de Huahine enquête sur le cambriolage, dans le nuit de samedi à dimanche, de l’agence Air Tahiti de l’aérogare de Huahine, aux îles Sous-le-vent. Le ou les voleurs auraient mis la main sur 450 000 Fcfp de recettes en espèces. Selon les constats réalisés sur place, l’agence de la compagnie aérienne a été victime d’une effraction. Des travaux sont actuellement en cours dans l’aérogare. Les auteurs du vol auraient pu profiter d’objets présents sur place pour faciliter leur cambriolage.
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Sa sœur meurt après 15 heures d'évasan, elle demande des explications à la justice
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PAPEETE, le 25 septembre 2016 – Au début du mois de juillet, une jeune femme de Ua Huka est morte en arrivant à Tahiti après plusieurs heures d’évasan. La sœur de cette dernière a écrit au procureur de la République. Une enquête est en cours.
Mardi 5 juillet, aux alentours de 14 heures, sur l’île de Ua Huka, aux Marquises. Une femme de 29 ans arrive au cabinet de l’infirmier. Atteinte de la leptospirose, son état de santé est très préoccupant. "Sa tension était à 6. Elle était en état de choc septique. Elle n’allait vraiment pas bien. Son pronostic vital était engagé", a expliqué l’infirmier le lendemain des faits. Ce dernier a tout de suite déclenché le processus d’évacuation sanitaire.
La malade sera prise en charge vers 20h30. Cette dernière et sa sœur, elle aussi malade de la leptospirose, arriveront à l’hôpital Taiohae, aux Marquises vers 23 heures. La première doit être évasanée vers l’établissement du Taaone, à Tahiti, car son état de santé est trop grave. Elle y arrivera le mercredi matin vers 5h35 avant de décéder quelques minutes plus tard, après plus de 15 heures d’évasan.
Cette histoire a fait grand bruit dans l’archipel des Marquises. De nombreuses personnes se sont interrogées sur les conditions de prise en charge de la patiente et sur les moyens déclenchés pour son évasan. Tout comme la sœur de la victime.
UNE ENQUÊTE PRÉLIMINAIRE OUVERTE
Remise sur pieds, Manuia* a écrit un courrier au procureur de la République dans lequel elle pose de nombreuses questions concernant l’évacuation sanitaire de sa sœur. Le courrier est arrivé au parquet au mois de juillet. A la suite de cela, une enquête préliminaire pour homicide involontaire a été ouverte.
"Elle a pour objet de vérifier si la mort de la jeune femme n’est pas imputable au processus des évasans", confie une source proche du dossier. Des personnes ont été entendues.
Le 14 septembre dernier, le Haut-commissariat a annoncé par voie de presse la délivrance d’un agrément de bateaux privés pour assurer des transports de passagers en cas d’urgence. Le document indique : "Sensibilisé par les difficultés que rencontrent les habitants des îles pour se déplacer en cas d’urgence, notamment dans l’archipel des Marquises et celui des Tuamotu Gambier, le haut-commissaire a décidé de permettre l’intervention de bonitiers et de poti marara dans le transport de personnes lorsqu’une situation d’urgence le justifie." Le haut-commissaire précise que la démarche permet d’assurer plus de sécurité aux personnes transportées plutôt que de "feindre d’ignorer" une pratique qui se fait depuis des années.
L’enquête sur la mort de la jeune femme a été confiée à la brigade de gendarmerie des archipels. Si le procureur de la République juge qu’il est nécessaire de donner suite, des mises en examen pourraient prononcées.
En attendant, à Ua Huka, le sujet reste très sensible.
Une semaine plus tard, un drame évité de justesse
"De nombreuses vies ont été gâchées depuis trop d’années à cause de ses évasans qui durent des heures et de ces moyens inadaptés…", tonnent de concert plusieurs habitants des Marquises.
Une semaine après l’évacuation de la malade de la leptospirose, une femme a dû être prise en charge pour une fausse couche sur l’île de Hiva Oa. L’équipe médicale a tout de suite déclenché le processus d’évacuation sanitaire. Un avion d’Air Archipels, partant de Tahiti, a été dépêché. Au dispensaire, la patiente a fait une hémorragie par voie basse. Elle se vidait de son sang. Les secours ont transfusé la patiente, sans avoir analysé le sang. L’avion a atterri sur l’île à 20 heures. La patiente est arrivée à l’hôpital à Tahiti, le lendemain matin vers 4 heures du matin. Elle serait aujourd’hui en bonne santé.
En 2014, un homme de 33 ans a eu un très grave accident de voiture. Son évacuation sanitaire avait duré plusieurs heures, faute de moyens de transport maritimes ou aériens adaptés. Le trentenaire avait succombé de ses blessures pendant son transfert à l’hôpital du Taiohae, aux Marquises. "Je reste persuadé qu’il aurait pu être sauvé s’il avait été pris en charge plus rapidement. Je vois son fils presque tous les jours, ce n’est pas facile…", témoigne un habitant de l’île.
A Ua Pou, une jeune maman a amené son bébé au dispensaire vers 16 heures. Le nourrisson était gravement malade et il nécessitait une évasan. A deux heures du matin, il a pu être emmené vers l’hôpital, en bateau. Arrivé sur place, le bébé est décédé.
Les évasans aux Marquises, un sujet sensible
La problématique des évasans aux Marquises n’est pas un fait nouveau. Jusqu’à 2007, une société privée a assuré la prise en charge des évasans mais depuis, il n’y a plus d’hélicoptère.
La majorité des maires des îles de l’archipel estiment que c’est pourtant la seule solution pour assurer les évasans d’urgence. D’autres, pensent qu’il faudrait que moyens aériens et maritimes soient couplés. Notamment pour les petites îles comme Ua Huka où il n’y a pas d’aérodrome.
La Fédération d’entraide des secours en mer a présenté plusieurs projets pour améliorer, en partie, ce problème. Elle souhaite la mise en place de trois Vedettes de sauvetage et d’assistance médicale (VSAM) à Hiva Oa, Ua Pou et Ua Huka qui pourront relier les îles entre elles.
Le mois prochain, un bateau, mis en place par l’Etat, sera disponible pour assurer les évasans programmées entre les îles sud de l’archipel.
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