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Monthly Archives: janvier 2017
Facebook : attention aux arnaques financières
Les réseaux sociaux sont devenus le terrain de chasse privilégié des escrocs en tous genres. Les offres de prêts fleurissent sur Facebook, avec des propositions toujours plus séduisantes. Teva, un jeune tahitien, en a été victime le mois dernier à hauteur de 340 000 FCP LG/LP
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Arrêt de la bande AM dans les îles éloignées: le président Fritch monte au créneau
Dans un communiqué que nous reproduisons ci-dessous, le gouvernement dit avoir pris connaissance de l’interpellation de l’association Te Tia
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Les produits emblématiques de la Polynésie au salon de l’agriculture de Paris
La Polynésie française sera présente au prochain salon de l'agriculture de Paris fin février à Paris. Différentes entreprises locales seront présentes et des produits emblématiques tels que la vanille, l’huile de coco vierge ou le monoï seront exposés.
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Plusieurs cas de dermatite du surfeur signalés depuis le début d'année
http://www.tahiti-infos.com/photo/art/default/10912864-18055190.jpg?v=1483759181
PAPEETE, le 6 janvier 2017 – Depuis le 5 janvier 2017, le Bureau de veille sanitaire de la Direction de la santé a centralisé plusieurs signalements de personnes qui auraient contracté une irritation de la peau appelée "dermatite du surfeur".
Depuis mi-décembre, des enfants et jeunes adultes ont consulté pour une éruption prurigineuse du thorax et de la racine des cuisses, sans fièvre. L’éruption survient dans les heures qui suivent une baignade en mer incluant souvent la pratique du surf. Les lésions sont présentes notamment sous les maillots de bain et les tee-shirts en lycra. L’évolution est favorable en quelques jours.
La zone de baignade la plus concernée va de la Pointe Vénus à l’embouchure de la Papenoo (zone des surfeurs), mais des cas ont également été décrits après des baignades à Arue, Punaauia et Moorea.
Ce phénomène est connu des surfeurs et des professionnels de santé : il est récurrent depuis plusieurs années à la même période (saison chaude et absence de pluie) et se manifeste de façon plus ou moins importante. Il se nomme « dermatite des surfeurs » ou « dermatite des baigneurs en mer ». Il est également décrit ailleurs dans le monde.
Les 1ers symptômes apparaissent pendant la baignade sous la forme de picotements généralement ressentis au niveau du torse et l’aine. L’hypothèse la plus probable est que cette dermatite soit causée par les toxines d’un microorganisme (larves de méduses ou d’anémones). Les fortes chaleurs favorisent sa multiplication. Le port de lycra ou maillot contribue à l’apparition des lésions par emprisonnement et frottement en maintenant les microorganismes au contact de la peau.
Conseils
– Eviter de se baigner dans les zones mentionnées, notamment sur les plages situées entre la Pointe Vénus et Papenoo
– En cas de dermatite (picotements pendant la baignade) :
– retirer immédiatement le maillot/lycra
– se rincer abondamment à l’eau de mer ailleurs que dans la zone de baignade infestée (éviter de se rincer
à l’eau douce de préférence)
– se sécher en tamponnant légèrement les parties du corps touchées avec une serviette (NE PAS FROTTER)
– se rincer au vinaigre dilué ou appliquer de l’alcool à 70°
– laver le maillot/lycra en machine ou le tremper dans de l’alcool ou du vinaigre puis le laver à la main avec
du savon
– En cas d’apparition d’une éruption :
– se couper les ongles pour éviter la surinfection des boutons
– consulter un médecin en cas de démangeaisons importantes, de fièvre ou de lésions présentant du pus.
Tahiti-Infos, le site N°1 de l’information à Tahiti
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Nous avons essayé pour vous le restaurant Le Mayflower à Mo’orea
https://www.tahiti-agenda.com/2017/01/05/avons-essaye-restaurant-mayflower-a-moorea/
Mo’orea, la plage, la fête.
Passer un bon moment dans les eaux turquoises de l’île sœur est agréable. Relaxation, farniente et …. restauration ?
L’article Nous avons essayé pour vous le restaurant Le Mayflower à Mo’orea est apparu en premier sur Tahiti Agenda, vos sorties du fenua.
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La Réserve Ramatuelle Hotel Spa & Villas recrute Stagiaire économat
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Un tour de l’île touristique pour bien commencer 2017…
http://www.tahitinews.co/un-tour-de-lile-touristique-pour-bien-commencer-2017/
Le GIE Tahiti Tourisme inaugure l’année 2017 avec son premier événement, à savoir : la 12ème édition du Tere Fa’ati ia Tahiti-Nui ! Rendez-vous
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La galette des Rois, toute une histoire
https://www.tahiti-agenda.com/2017/01/05/galette-rois-toute-histoire/
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Hôtel Barrière Le Royal La Baule recrute Chef de rang
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Les nacres de Raroia transférées dans le lagon de Takume ne sont pas malades
http://www.tahiti-infos.com/photo/art/default/10903625-18040180.jpg?v=1483674592
PAPEETE, le 5 janvier 2017- ( Communiqué du gouvernement) Fin septembre 2016, un groupe de perliculteurs de Takume, mené par Marcel Tuhiva-Ford, et accompagné par Anna Flores, maire déléguée de Raroia, a dénoncé le transfert sans autorisation de 2 000 nacres de Raroia vers Takume effectué par un perliculteur installé à Raroia. L’objectif était de réensemencer un stock d’huîtres sauvages suite à la réduction du collectage dans le lagon de Takume, et ce à la demande du conseiller spécial de Takume.
Face à cette situation, certains habitants de Takume ont soupçonné ces huîtres perlières d’être malades et susceptibles de contaminer toutes les nacres du lagon. Ces huîtres perlières ayant été retirées du lagon, les prélèvements par la Direction des ressources marines et minières (DRMM) n’ont pu être réalisés pour analyse. Cependant, afin de rassurer la population, la DRMM a alors pris l’initiative d’analyser les huîtres perlières localisées à proximité de la zone où les 2 000 nacres ont été installées. Des huîtres perlières d’élevage, qui pourraient être originaires de Raroia, ont également été collectées sur le site.
Les analyses effectués par les scientifiques de la DRMM ont particulièrement porté sur la recherche de facteurs d’origine infectieuse avec pour objectif l’identification d’agents pathogènes susceptibles de provoquer l’apparition de maladies et/ou de mortalité massive et anormale, tels que l’ADN bactérien de Vibrio harveyi et l’ADN viral de l’herpèsvirus de type 1 OsHV-1. Les techniques utilisées pour les analyses sont l’histologie, la bactériologie et la biologie moléculaire.
Les résultats de ces analyses ont révélé que les lots d’huîtres perlières collectés ne présentent aucun agent pathogène susceptible de provoquer des mortalités importantes et/ou de contaminer les autres cheptels de l’atoll de Takume. Le Gouvernement se réjouit de l’absence de contamination du lagon de Takume et rappelle les perliculteurs au respect strict des mesures de précautions d’usage. Une procédure de sanction administrative est en cours, conformément à la réglementation en vigueur.
Tahiti-Infos, le site N°1 de l’information à Tahiti
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Geisha Show @ Lotus Club Marrakech
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Economie bleue : les défis de 2017
http://www.tahiti-infos.com/photo/art/default/10902929-18038865.jpg?v=1483662568
http://www.tahiti-infos.com/Economie-bleue-les-defis-de-2017_a156537.html
PAPEETE, le 5 janvier 2017. Avec 5,5 millions de kilomètres carrés, la Zone économique exclusive (ZEE) du fenua représente l’un des plus grands territoires marins d’outre-mer. Un potentiel encore loin d’être exploité. Pour inverser la tendance, Teva Rohfritsch, ministre en charge de l’Economie bleue, souhaite lancer une zone bio-marine à Faratea cette année. Les Polynésiens partis se former à Shanghai pour travailler au complexe aquacole de Hao seront de retour en avril. Ils auront comme première mission de sélectionner des géniteurs. Le gouvernement doit aussi recevoir en début d’année le rapport d’un cabinet spécialisé définissant une stratégie pour la pêche pour les 10 prochaines années. Tour d’horizon des dossiers qui ont la lourde charge de faire décoller l’économie bleue.
● Zone bio-marine
En septembre dernier, le ministre de l’Economie bleue s’est réuni avec les professionnels de l’aquaculture. Ceux-ci ont présenté leurs projets pour que le gouvernement puisse définir les équipements à mettre en place. "J’ai proposé au conseil des ministres de reconvertir cette zone qui était vouée à une destination industrielle à la base. On va garder une petite zone industrielle qui sera compatible avec les activités futures du pôle bio-marine de Faratea, qui aura une forte vocation aquacole. Contrairement à ce qui a pu se faire par le passé, j’ai souhaité réunir les professionnels pour qu’on balaie avec eux le champ des possibles. Je dis bien les professionnels actuels car un tel pôle pourrait aussi décider d’autres à se lancer", indique Teva Rohfritsch.
Dans la zone bio-marine, le ministre prévoit d’installer des "ateliers relais de la mer". "Comme pour les ateliers relais ‘classiques’, il s’agira de mettre à disposition des entreprises en création une structure avec des équipements communs pour qu’elles puissent tester leur idée et la mise sur le marché", précise Teva Rohfritsch. La seconde partie pour les professionnels, plus solides économiquement, pourrait accueillir des activités autour des "algues marines, de la fabrication d’aliments, de l’aquariophilie, de la pisciculture avec d’autres espèces de poissons que celles qui sont élevées aujourd’hui, et de la crevetticulture, consommatrice de davantage de place."
Le Pôle le Pôle Mer Méditerranée, qui regroupe des grandes entreprises, PME, laboratoires publics et privés, Universités et grandes écoles concernés par le maritime, est aussi en contact avec le gouvernement et pourrait installer une de ses antennes à Tahiti.
A terme, la zone bio marine devrait s’étendre sur environ 30 hectares. "J’ai demandé à un cabinet d’études de travailler sur le cahier des charges mais aussi la priorisation de l’affectation du foncier au projet", indique Teva Rohfritsch. La première zone à être aménagée devrait ainsi être celle qui est près du quai, au bord de la mer (voir schéma ci-contre). Le projet de route du sud, qui devait passer au milieu de la future zone aménagée sera revu. "J’ai demandé à l’équipement de déplacer la route pour venir un peu plus en bas, j’ai eu le nouveau tracé", explique Teva Rohfritsch.
Au départ, le ministre pensait commencer l’installation de la zone bio-marine sur le terrain où est située l’ancienne écloserie mais le bâtiment est vétuste et amianté. TNAD a donc été chargé de son désamiantage et de sa destruction.
"Je fais une zone bio-marine car la diversité des projets m’intéresse", souligne Teva Rohfritsch. "C’est l’idée de la Silicon Valley. Le monde de l’aquaculture est très petit mais il se réunit rarement. Or je suis sûr qu’il y a une technicité, un esprit commun, des conjonctions d’énergies que l’on pourrait mettre en place", met-il en avant. "Mais notre première priorité est que nos aquaculteurs puissent mieux travailler."
Dans la zone bio-marine, le ministre prévoit d’installer des "ateliers relais de la mer". "Comme pour les ateliers relais ‘classiques’, il s’agira de mettre à disposition des entreprises en création une structure avec des équipements communs pour qu’elles puissent tester leur idée et la mise sur le marché", précise Teva Rohfritsch. La seconde partie pour les professionnels, plus solides économiquement, pourrait accueillir des activités autour des "algues marines, de la fabrication d’aliments, de l’aquariophilie, de la pisciculture avec d’autres espèces de poissons que celles qui sont élevées aujourd’hui, et de la crevetticulture, consommatrice de davantage de place."
Le Pôle le Pôle Mer Méditerranée, qui regroupe des grandes entreprises, PME, laboratoires publics et privés, Universités et grandes écoles concernés par le maritime, est aussi en contact avec le gouvernement et pourrait installer une de ses antennes à Tahiti.
A terme, la zone bio marine devrait s’étendre sur environ 30 hectares. "J’ai demandé à un cabinet d’études de travailler sur le cahier des charges mais aussi la priorisation de l’affectation du foncier au projet", indique Teva Rohfritsch. La première zone à être aménagée devrait ainsi être celle qui est près du quai, au bord de la mer (voir schéma ci-contre). Le projet de route du sud, qui devait passer au milieu de la future zone aménagée sera revu. "J’ai demandé à l’équipement de déplacer la route pour venir un peu plus en bas, j’ai eu le nouveau tracé", explique Teva Rohfritsch.
Au départ, le ministre pensait commencer l’installation de la zone bio-marine sur le terrain où est située l’ancienne écloserie mais le bâtiment est vétuste et amianté. TNAD a donc été chargé de son désamiantage et de sa destruction.
"Je fais une zone bio-marine car la diversité des projets m’intéresse", souligne Teva Rohfritsch. "C’est l’idée de la Silicon Valley. Le monde de l’aquaculture est très petit mais il se réunit rarement. Or je suis sûr qu’il y a une technicité, un esprit commun, des conjonctions d’énergies que l’on pourrait mettre en place", met-il en avant. "Mais notre première priorité est que nos aquaculteurs puissent mieux travailler."
● La réforme de la perliculture
La réforme de la perliculture a été adoptée mi-décembre à l’Assemblée. Elle a pour ambition d’atteindre une production organisée et de qualité, grâce à la mise en place de quotas de production et de mesures destinées à assurer la traçabilité des volumes de perles, de leur production jusqu’à leur exportation. On devrait enfin savoir combien de perles sont produites !
Mais les résultats de cette réforme ne seront pas visibles tout de suite. "Il faut déjà une année pour mettre en place les nouvelles structures : comités de gestion dans les îles et conseil de la perliculture", note Teva Rohfritsch. "Ce n’est pas une reprise en main par le gouvernement, -ce qui a été mal compris par l’opposition-, c’est une reprise en main par les professionnels", souligne le ministre. "Dans les comités de gestion, c’est un interlocuteur égale une voix, c’est la démocratie, les petits comme les plus gros auront une voix. Les comités de gestion vont coordonner la préservation du lagon, les quotas de production et traiter des autres sujets. Tous les comités de gestion seront représentés au conseil de la perliculture, où on examinera les arrêtés d’application. J’espère qu’on pourra déterminer un objectif de production pour 2018. On va se donner trois à cinq ans pour que le système tourne à plein régime mais je pense que d’ici trois ans on verra les premiers effets."
Mais les résultats de cette réforme ne seront pas visibles tout de suite. "Il faut déjà une année pour mettre en place les nouvelles structures : comités de gestion dans les îles et conseil de la perliculture", note Teva Rohfritsch. "Ce n’est pas une reprise en main par le gouvernement, -ce qui a été mal compris par l’opposition-, c’est une reprise en main par les professionnels", souligne le ministre. "Dans les comités de gestion, c’est un interlocuteur égale une voix, c’est la démocratie, les petits comme les plus gros auront une voix. Les comités de gestion vont coordonner la préservation du lagon, les quotas de production et traiter des autres sujets. Tous les comités de gestion seront représentés au conseil de la perliculture, où on examinera les arrêtés d’application. J’espère qu’on pourra déterminer un objectif de production pour 2018. On va se donner trois à cinq ans pour que le système tourne à plein régime mais je pense que d’ici trois ans on verra les premiers effets."
● Pêche : « Passer de 6 000 à 12 000 tonnes »
Avec l’Agence française pour le développement, la Polynésie française a demandé à un cabinet spécialisé de réaliser une étude sur le développement stratégique de la filière pêche en Polynésie pour les 10 prochaines années. Cette étude devrait être rendue en avril au plus tard. "L’idée est à la fois le renouvellement de la flottille actuelle qui a une quinzaine d’années et le renouvellement des installations à terre. On a aussi mis des options stratégiques à creuser : le surgelé, la pêche de l’espadon aux Australes et un scénario pour sur une stratégie de base avancée aux Marquises", souligne Teva Rohfritsch. "J’ai tenu à ce qu’il y ait dans le cabinet d’experts un architecte naval qui vienne faire un audit de la flottille. Certains bateaux peuvent être rénovés d’autres non. Il y a une soixantaine de navire en exploitation mais la moitié sont des thoniers congélateurs. Ils sont utilisés aujourd’hui en pêche fraiche mais ont des coûts d’exploitation qui ne sont pas compatibles avec la pêche fraiche. Cela pèse lourd sur la pêche. Je pense qu’il faudra changer ces bateaux. Le cabinet d’experts nous dira comment dimensionner notre outil de pêche fraiche. L’objectif est de doubler l’effort de pêche polynésien en passant de 6 000 à 12 000 tonnes en 10 ans."
Lors du Sommet de l’Océan Pacifique à Hawaii, Edouard Fritch a annoncé début septembre qu’il souhaitait faire de la Polynésie la plus grande aire marine gérée du monde d’ici 2020. Dans ce cadre, le gouvernement souhaite obtenir le Référentiel environnemental du MSC (Marine Stewardship council), qui permet de montrer qu’une pêcherie est durable et bien gérée. Le cabinet spécialisé devra aussi donner des conseils au gouvernement qui souhaite atteindre 12 000 tonnes par an d’ici 2028 tout en s’engageant dans une pêche durable.
Début décembre, l’assemblée a adopté la loi du Pays portant à 70% le taux du crédit d’impôt pour l’achat de navires de pêches construits dans un chantier naval polynésien. "On va augmenter pendant deux ans la défiscalisation locale. On a pris la part de Bercy, qui ne donne plus d’agrément fiscal pour les bateaux de pêche, car le ministère de l’Economie et des Finances attend le plan de stratégie. J’ai recensé entre 13 et 15 navires en attente", souligne Teva Rohfritsch. "Cela assure deux à trois ans de travail pour les trois chantiers navals existants. Les dossiers sont en train d’être déposés. "
Lors du Sommet de l’Océan Pacifique à Hawaii, Edouard Fritch a annoncé début septembre qu’il souhaitait faire de la Polynésie la plus grande aire marine gérée du monde d’ici 2020. Dans ce cadre, le gouvernement souhaite obtenir le Référentiel environnemental du MSC (Marine Stewardship council), qui permet de montrer qu’une pêcherie est durable et bien gérée. Le cabinet spécialisé devra aussi donner des conseils au gouvernement qui souhaite atteindre 12 000 tonnes par an d’ici 2028 tout en s’engageant dans une pêche durable.
Début décembre, l’assemblée a adopté la loi du Pays portant à 70% le taux du crédit d’impôt pour l’achat de navires de pêches construits dans un chantier naval polynésien. "On va augmenter pendant deux ans la défiscalisation locale. On a pris la part de Bercy, qui ne donne plus d’agrément fiscal pour les bateaux de pêche, car le ministère de l’Economie et des Finances attend le plan de stratégie. J’ai recensé entre 13 et 15 navires en attente", souligne Teva Rohfritsch. "Cela assure deux à trois ans de travail pour les trois chantiers navals existants. Les dossiers sont en train d’être déposés. "
● Complexe aquacole de Hao
Fin septembre dernier, dix jeunes Polynésiens ont commencé leur formation aquacole à l’Université de Shanghai. Leur formation est financée par le Pays et Tahiti Nui Ocean Food. Ils reviendront le 17 avril. A leur retour au fenua, le complexe aquacole de Hao ne sera pas encore en fonctionnement. Une de leurs premières missions sera de trouver "les géniteurs".
Pour alimenter les écloseries, des captures de poissons géniteurs dans les stocks sauvages seront effectuées en veillant à ne pas entraver la viabilité des populations sauvages. Les trois espèces de poissons qui seront élevées seront les Mara ou Napoléon ; Tonu et Ha’apu qui sont des loches. "Nos jeunes seront les ambassadeurs de TNOF pour aller acheter aux pêcheurs les futurs géniteurs de la ferme. Il y aura des techniques pour sélectionner les géniteurs et les attraper sans les blesser. Ce sera le travail des jeunes de faire rencontrer ces technologies chinoises et les techniques traditionnelles d’ici. Les premières autorisations d’occupation du domaine maritime de Hao seront bientôt délivrées pour stocker les géniteurs et commencer les processus pour tester le circuit d’écloserie en parallèle du chantier", précise le ministre de l’Economie bleue. "On ne va pas accueillir d’espèces d’Asie. Ils maitrisent les techniques de reproductions des espèces de cousins de nos mérous et loches.
La date de démarrage des travaux de construction du complexe aquacole n’est pas encore connue. "On finit les travaux préparatoires du site. TNOF a rencontré les entreprises. Il y a un travail de préparation du chantier mais il faut avoir bien conscience que c’est un projet énorme", rappelle Teva Rohfritsch.
Tahiti Nui Ocean Foods vise 50 000 tonnes de production annuelle. Les travaux de construction devraient durer environ deux ans.
Pour alimenter les écloseries, des captures de poissons géniteurs dans les stocks sauvages seront effectuées en veillant à ne pas entraver la viabilité des populations sauvages. Les trois espèces de poissons qui seront élevées seront les Mara ou Napoléon ; Tonu et Ha’apu qui sont des loches. "Nos jeunes seront les ambassadeurs de TNOF pour aller acheter aux pêcheurs les futurs géniteurs de la ferme. Il y aura des techniques pour sélectionner les géniteurs et les attraper sans les blesser. Ce sera le travail des jeunes de faire rencontrer ces technologies chinoises et les techniques traditionnelles d’ici. Les premières autorisations d’occupation du domaine maritime de Hao seront bientôt délivrées pour stocker les géniteurs et commencer les processus pour tester le circuit d’écloserie en parallèle du chantier", précise le ministre de l’Economie bleue. "On ne va pas accueillir d’espèces d’Asie. Ils maitrisent les techniques de reproductions des espèces de cousins de nos mérous et loches.
La date de démarrage des travaux de construction du complexe aquacole n’est pas encore connue. "On finit les travaux préparatoires du site. TNOF a rencontré les entreprises. Il y a un travail de préparation du chantier mais il faut avoir bien conscience que c’est un projet énorme", rappelle Teva Rohfritsch.
Tahiti Nui Ocean Foods vise 50 000 tonnes de production annuelle. Les travaux de construction devraient durer environ deux ans.
Tahiti-Infos, le site N°1 de l’information à Tahiti
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La CCISM a remis 73 prix aux gagnants des jeux concours de Noël
http://www.tahiti-infos.com/photo/art/default/10902994-18039007.jpg?v=1483663667
PAPEETE, le 05 janvier 2017 – Mercredi 05 janvier, la CCISM a remis les prix aux gagnants des jeux-concours « La Hotte du Père Noël » et le « Jeu Noera i Taravao », ainsi qu’un concours « Les plus belles vitrines de Noël » organisés avec les associations de commerçants pour les fêtes de Noël.
Un peu plus de cinquante personnes étaient présentes ce mercredi dans le hall de la CCISM pour la remise des prix des jeux-concours « La Hotte du Père Noël », le « Jeu Noera i Taravao », ainsi et le concours « Les plus belles vitrines de Noël ». Plusieurs entreprises étaient présentes afin de remettre leurs lots gagnants en main propre.
Un peu plus de cinquante personnes étaient présentes ce mercredi dans le hall de la CCISM pour la remise des prix des jeux-concours « La Hotte du Père Noël », le « Jeu Noera i Taravao », ainsi et le concours « Les plus belles vitrines de Noël ». Plusieurs entreprises étaient présentes afin de remettre leurs lots gagnants en main propre.
Pour le concours des "plus belles vitrines de Noël", c’est la boutique Elegancia du centre Vaima avec sa robe en sapin, qui a remporté une fois de plus le premier prix et ses 100.000 Francs de récompense. "Ça fait trois années de suite que je remporte le premier prix. J’adore faire les vitrines", explique non sans fierté Brigitte.
La boutique Pat and Val est arrivée deuxième avec sa vitrine blanche et violette. Elle remporte les 75.00 francs de récompense pour sa belle décoration, tandis que la boutique Blue Pearl remporte le troisième prix et les 50.000 francs qui l’accompagnent. Au total, 26 commerces ont joué le jeu. Un jury a eu la lourde tâche de les départager pour n’en choisir que 3 avec deux critères d’évaluation : le respect de l’esprit de Noël et l’originalité de la création.
En tout, 50 lots ont été remis pour le jeu "La Hotte du Père Noël" et 20 lots ont été distribués pour le "jeu Noera i Taravao".
La CCISM a tenu à préciser, "certes il y a des commerces en difficultés, mais il y a aussi des commerces dynamiques qui marchent bien en Polynésie et la CCISM se fait une joie de les accompagner et de les soutenir notamment au travers de différentes associations de commerçants", déclare Odile Tcheou, Responsable des actions et promotions commerciales de la CCISM.
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Papeete : le petit train bientôt sur les rails
http://www.tahiti-infos.com/photo/art/default/10901633-18036453.jpg?v=1483644868
http://www.tahiti-infos.com/Papeete-le-petit-train-bientot-sur-les-rails_a156533.html
PAPEETE, le 5 janvier 2016 – Le président du Pays vient de signer un arrêté autorisant La société à responsabilité limitée SARL Tahitian Tourism Business Company à mettre en circulation à des fins touristiques ou de loisirs un petit train routier. Le véhicule devrait bientôt entrer en gare.
Attention au départ ! Le train touristique de la ville de Papeete sera bientôt sur les rails. Le président du Pays a autorisé sa mise en circulation. Il ne manque plus que quelques détails au gérant de la société exploitante pour le mettre en marche. "Cela a été un vrai parcours du combattant, et ce n’est pas fini", souffle Christian Shan Sei Fan, gérant du petit train.
Ce dernier planche sur le sujet depuis plus de deux ans. Après de nombreuses péripéties administratives, financières et techniques, il voit enfin son projet se concrétiser.
Le petit train pourrait accueillir ses premiers passagers dès ce week-end. Pour l’heure, deux parcours sont prévus : un en journée et un différent en fin d’après-midi, pour le coucher du soleil. "Nous avons aussi imaginé un tour de la ville de Papeete en soirée. Ce serait une balade musicale avec de la musique traditionnelle et aussi des légendes."
Dans cet arrêté du 26 décembre et paru le 3 janvier au Journal Officiel de la Polynésie française (JOPF), le départ de cette attraction touristique se fait du parc Paofai. Ce point de départ et d’arrivée est loin de satisfaire l’initiateur du projet qui milite depuis le début pour que le train parte de la gare maritime. "C’est très handicapant d’avoir le départ aussi loin. Le parc est à plus de dix minutes à pied du centre-ville, c’est trop loin."
La semaine dernière Christian Shan Sei Fan a reçu le projet de convention avec la gare maritime, l’autorisant à installer le départ près des ferrys. L’arrêté paru cette semaine devrait donc être bientôt modifié. Le parc Paofai ne deviendra plus qu’un simple arrêt.
De Paofai dans un premier temps puis de la gare maritime, le petit train roulera bientôt dans les rues de Papeete. Il permettra de découvrir la ville sous un autre jour.
Informations pratiques
Un billet pour le petit train touristique de Papeete coûte 1500 francs par personne.
Le départ se fera, pour l’heure, au parc Paofai.
Le départ se fera, pour l’heure, au parc Paofai.
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Intercontinental Paris Le Grand recrute Chef de partie
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