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Monthly Archives: octobre 2017
Truck d’antan : l’emblématique transport de Tahiti
Truck d’antan : l’emblématique transport aérien Les trucks, emblématiques de la Polynésie, pourraient bien disparaitre peu a peu de notre paysage. P.E Garrot
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Invité de l’hebdo : Gaston Flosse, Président du Tahoeraa Huiraatira
Invité de l’hebdo : Gaston Flosse, Président du Tahoeraa Huiraatira L’homme fort du parti orange, qui a célébré il y a deux jours les 40 ans de son parti, est revenu sur… P.E Garrot
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160 millions Fcfp investis dans la réfection des cantines à Papeete
http://www.tahitinews.co/160-millions-fcfp-investis-dans-la-refection-des-cantines-a-papeete/
Ce vendredi 6 octobre 2017, le maire de la ville de Papeete, Michel Buillard, accompagné de membres du conseil municipal,
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Air Tahiti dévoile une nouvelle livrée à l'image de la Polynésie
http://www.tahiti-infos.com/photo/art/default/17531155-22004348.jpg?v=1507515466
PAPEETE, le 8 octobre – Trois avions d’Air Tahiti vont recevoir ces nouvelles livrées, inspirées des tatouages polynésiens traditionnels. Une nouvelle robe pour célébrer le renouvellement total de la flotte d’Air Tahiti qui vient de se terminer, et ses 30 ans de partenariat avec l’avionneur français ATR.
Une grande fête était organisée vendredi soir par Air Tahiti dans ses hangars de l’aéroport, rassemblant ses salariés et des invités proches du groupe. Cocktail dînatoire offert par la direction, danses et chants offerts par des groupes d’employés : la compagnie aérienne a joyeusement célébré les nouvelles livrées de ses avions, dévoilées sur les deux appareils déjà décorés en fin de soirée, sous les vivas.
C’était aussi l’occasion de fêter les 30 ans de la collaboration entre Air Tahiti et l’avionneur ATR, qui lui fournit ses avions depuis 1987 (voir interview). Une collaboration renouvelée récemment par la commande de 9 nouveaux avions, pour remplacer entièrement l’ancienne flotte d’Air Tahiti. Un remplacement qui sera totalement achevé fin octobre, avec la livraison du 9ème ATR 600. Il recevra lui-aussi une livrée unique inspirée de ces motifs polynésiens dessinés par les élèves du Centre des métiers d’art (voir interview).
Air Tahiti prêt à redécoller
Air Tahiti a possédé jusqu’à 10 avions ATR de la série 500, mais a réduit la voilure pendant la crise économique mondiale, descendant à 9 avions. L’entreprise a alors décidé d’anticiper l’avenir en commandant de nouveaux appareils pour renouveler l’ensemble de sa flotte.
Air Tahiti n’est pas allé très loin pour chercher son nouveau fournisseur, puisqu’il garde les mêmes modèles, remplaçant ses avions de la série 500 par les nouvelles versions de la série 600. "Ça y est, nous avons procédé au remplacement des 9 anciens avions, nous n’allons opérer plus que des séries 600. Et nous gardons l’option de commander un 10ème avion qui sera livré en 2020, avec la possibilité soit de l’avancer d’une année, soit de repousser la commande de deux ans en fonction de l’évolution de la conjoncture" explique le directeur général de compagnie aérienne. Air Tahiti devrait donc bientôt être de retour au sommet de sa forme.
Pour les passagers, les avions de cette série 600 ne vont pas changer grand-chose, puisque la cabine et le nombre de sièges est identique. Par contre sous le capot, tout a changé pour entrer dans l’ère du numérique. Le cockpit n’a rien à envier à la cabine de pilotage d’un A380, rempli d’écrans géants et d’indicateurs avancés. La gestion électronique des moteurs et des systèmes fait remonter toute l’information en continu et optimise le moteur en permanence pour économiser le carburant et avoir une navigation plus sure. De quoi permettre à Air Tahiti de remplir encore longtemps la mission qu’elle s’est attribuée : relier les îles de la Polynésie entre elles.
Manate Vivish, directeur général d’Air Tahiti
"Nous voulions véritablement donner du sens à ces tatouages"
"Nous voulions véritablement donner du sens à ces tatouages"
Quels sont ces deux avions qui portent ce nouvel habillage ?
Ces deux avions sont les 7ème et 8ème ATR de la série 600 à entrer dans la flotte d’Air Tahiti, ils ont commencé à tourner en Polynésie, le premier en novembre 2016 et l’autre en mai 2017. Nous attendons un 9ème nouvel avion qui sera livré à Toulouse d’ici une dizaine de jours, qui aura probablement lui-aussi une livrée unique basée sur ces dessins. Nous sommes en train de discuter pour savoir si nous allons aussi tatouer les autres appareils de la flotte.
Ces livrées sont basée sur les tatouages polynésiens, en célébration des 30 années de notre partenariat avec ATR, il a commencé en 1987. Pour les dessiner, nous avons fait appel aux élèves du CMA car nous voulions véritablement donner du sens à ces tatouages, qu’ils aient une vraie relation avec notre activité et exprime l’essence de notre travail au quotidien, qui est de relier les îles en elles ; de servir de lien entre les populations et leurs îles, et servir au développement que l’on souhaite.
Pourquoi une telle fidélité à ATR ?
Tout simplement parce que c’est l’avion qui correspond parfaitement à ce que nous faisons en Polynésie française. Ses capacités sont très intéressantes, il arrive à gérer les pistes courtes, les pistes étroites, le survol maritime sur de longues distances… Et enfin c’est une famille, la série 600 se décline en, plusieurs modèles. Nous avons des 42-600 et des 72-600, avec des arrangements de cabine différents, ce qui pour nous est un avantage extraordinaire. Nous avons la même base en matière de maintenance et de pilotage de l’avion, donc les équipages et les mécaniciens n’ont pas besoin d’être qualifiés sur deux avions différents, mais nous avons pourtant la possibilité de transporter un nombre différent de passagers en fonction des destinations et des contraintes. Nous assurons des vols vers les îles de la Société, et jusqu’aux îles Cook !
Heiata Aka, ancienne élève au Centre des métiers d’art
"Nous voulions utiliser des symboles polynésiens pour représenter la Polynésie, c’est important."
"Nous voulions utiliser des symboles polynésiens pour représenter la Polynésie, c’est important."
J’étais encore élève au CMA il y a deux ans, donc j’ai commencé à travailler sur ce projet avec les autres élèves dès le début, et je suis encore aujourd’hui au CMA en tant qu’intervenante. Ce projet a mis deux ans à se mettre en place, le temps de le faire mûrir, de travailler, de tout mettre en place avec les élèves, le corps enseignant et le directeur, la compagnie Air Tahiti… Et aujourd’hui je suis vraiment très heureuse de voir le résultat ! C’est l’aboutissement, la cerise sur le gâteau ! C’est un beau travail collectif, nous avons été une dizaine d’élèves à travailler dessus. Alors de le voir sur des avions…
Donc le sens de ce tatouage… On a commencé par mettre le soleil au centre, avec un motif des Australes. Il est entouré par les îles de la Polynésie, représentées par des montagnes et leur reflet. Et autour gravitent les habitants de notre Fenua, qui se tiennent par la main. Il y a aussi des oiseaux… beaucoup de petits clins d’œil ! Nous voulions utiliser des symboles polynésiens pour représenter la Polynésie, c’est important. Pour représenter notre histoire de grands navigateurs, nos ancêtres ont traversé des océans ! Et aussi pour continuer d’écrire l’histoire. Aujourd’hui les avions ont remplacé les pirogues.
L’État accorde la défiscalisation au nouvel ATR d’Air Tahiti
Le haut-commissariat a annoncé par voie de communiqué de presse que la demande de défiscalisation du nouvel ATR 72-600 d’Air Tahiti avait été accordée pour un montant de 1,364 milliard Fcfp (11,431 millions d’euros).
Le haut-commissariat a annoncé par voie de communiqué de presse que la demande de défiscalisation du nouvel ATR 72-600 d’Air Tahiti avait été accordée pour un montant de 1,364 milliard Fcfp (11,431 millions d’euros).
Le haut-commissaire René Bidal note que "ce projet s’inscrit pleinement dans le récent schéma directeur des déplacements durables inter-insulaires de la Polynésie française et les engagements pris par l’État, sur ce sujet, dans l’Accord de l’Élysée. Cette aide est complémentaire à celles qui sont intervenues en 2015 et 2016 ; elle favorise le maintien, par la compagnie Air Tahiti, qui engage en appui d’importants fonds propres, un haut niveau de fiabilité des liaisons aériennes, grâce à un renouvellement régulier de sa flotte."
Tahiti-Infos, le site N°1 de l’information à Tahiti
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Qui Plume La Lune recrute Chef de rang
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Nouvelle défiscalisation accordée à Air Tahiti
http://www.tahitinews.co/nouvelle-defiscalisation-accordee-a-air-tahiti/
Le haut-commissaire, René Bidal, annonce que la compagnie aérienne Air Tahiti vient d’obtenir un accord de principe à sa
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Hôtel Parister recrute Femme de chambre/valet de chambre polyvalent(e) lingerie
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Mutoï à Faa’a: l’observation avant tout!
http://www.tahitinews.co/mutoi-a-faaa-lobservation-avant-tout/
Près de 500 élèves du collège Henri Hiro ont participé vendredi au cross annuel de l’établissement. Les agents de
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L’ouragan Nate a touché les États-Unis
http://www.tahitinews.co/louragan-nate-a-touche-les-etats-unis/
L’ouragan a fait son entrée au niveau du delta du fleuve Mississippi, samedi. Moins puissant que redouté, Nate ne devrait
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Depuis 1987, Air Tahiti a acquis 33 appareils pour une valeur de 55 milliards Fcfp
Alors que la compagnie Air Tahiti célèbre trente années de partenariat avec la société ATR (Avions de Transport Régional), c’est
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Miss Popa'a 2017 : qui sont les six candidates ?
http://www.tahiti-infos.com/photo/art/default/17501175-21980195.jpg?v=1507344257
http://www.tahiti-infos.com/Miss-Popa-a-2017-qui-sont-les-six-candidates_a165356.html
PUNAAUIA, le 6 octobre 2017 – Les six prétendantes au titre de Miss Popa’a 2017 défileront vendredi 13 octobre, sur la scène du restaurant Captain Bligh, à Punaauia. Découvrez le portrait des jeunes femmes pour mieux les apprécier avant le grand soir.
Malgré des difficultés à organiser, cette année encore, l’élection de Miss Popa’a, Jean-Claude Mensier a enfin réussi à boucler l’édition 2017. L’organisateur de l’événement n’avait en effet pas obtenu assez de filles à l’issue des castings en 2012 et 2013, puis en 2016. La lauréate 2015 et dernière Miss Popa’a en date était Maëlys Schmit. Cette fois, six candidates ont été sélectionnées et se disputeront le titre au cours de quatre passages : en tenue de ville, en maillot de bain, expression libre et enfin en robe de soirée.
L’élection de Miss Popa’a 2017 se déroulera le vendredi 13 octobre au restaurant Captain Bligh, à Punaauia, au cours d’une grande soirée spectacle avec la participation d’artistes locaux. Au programme : des danses, des sketchs et des chansons, avec notamment un show polynésien de la troupe Hura Tahiti Nui, suivi d’une soirée dansante avec DJ jusqu’à deux heures du matin.
Infos pratiques
Vendredi 13 octobre
Restaurant Captain Bligh
18h30 : entrée des dîneurs
19h15 : ouverture du buffet
21h15 : entrée des non-dîneurs
21h30 : début de l’élection
Tarifs : 6 500 Fcfp (dîneurs) ; 1 500 Fcfp (non-dîneurs)
Réservations au 87 77 21 90
Restaurant Captain Bligh
18h30 : entrée des dîneurs
19h15 : ouverture du buffet
21h15 : entrée des non-dîneurs
21h30 : début de l’élection
Tarifs : 6 500 Fcfp (dîneurs) ; 1 500 Fcfp (non-dîneurs)
Réservations au 87 77 21 90
Candidate N°1
NOM : SHILDT
Prénom : Isabelle
Âge : 27 ans
Commune : Paea
Études ou profession : Master 2 Environnement insulaire océanien (UPF) et professeur en prévention santé environnement (lycée)
Prénom : Isabelle
Âge : 27 ans
Commune : Paea
Études ou profession : Master 2 Environnement insulaire océanien (UPF) et professeur en prévention santé environnement (lycée)
Tes qualités pour être Miss Popa’a : "L’intégrité et l’humilité sont mes valeurs."
Tes loisirs et passions : surf, va’a, apnée, navigation en mer, danse, yoga, peinture…
Ta devise : "Faire en sorte d’être la plus heureuse possible et de communiquer mon bonheur aux autres."
Candidate N°2
NOM : MOURET
Prénom : Kim
Âge : 17 ans
Commune : Moorea
Études ou profession : terminale littéraire
Prénom : Kim
Âge : 17 ans
Commune : Moorea
Études ou profession : terminale littéraire
Tes qualités pour être Miss Popa’a : "Je suis joyeuse, souriante et sereine."
Tes loisirs et passions : les voyages, les découvertes, la lecture…
Ta devise : "Qui ne tente pas le diable n’atteint pas le paradis."
Candidate N°3
NOM : MASSON
Prénom : Honorine
Âge : 24 ans
Commune : Pirae
Études ou profession : infirmière puéricultrice
Prénom : Honorine
Âge : 24 ans
Commune : Pirae
Études ou profession : infirmière puéricultrice
Tes qualités pour être Miss Popa’a : "Je suis souriante et j’ai la joie de vivre."
Tes loisirs et passions : pole dance, danse tahitienne, natation, ‘ukulele, voyages…
Ta devise : "Profite de l’instant présent."
Candidate N°4
NOM : MAGAGNIN
Prénom : Laetitia
Âge : 24 ans
Commune : Mahina
Études ou profession : auditeur financier
Prénom : Laetitia
Âge : 24 ans
Commune : Mahina
Études ou profession : auditeur financier
Tes qualités pour être Miss Popa’a : "Mon dynamisme et ma bonne humeur sont mes atouts."
Tes loisirs et passions : pole dance, wakeboard, va’a, kitesurf…
Ta devise : "Carpe diem."
Candidate N°5
NOM : CAVAILLE
Prénom : Céline
Âge : 18 ans
Commune : Arue
Études ou profession : étudiante au lycée Paul Gauguin
Prénom : Céline
Âge : 18 ans
Commune : Arue
Études ou profession : étudiante au lycée Paul Gauguin
Tes qualités pour être Miss Popa’a : "Ma joie de vivre, mon sourire et mon dynamisme sont mes principales vertus."
Tes loisirs et passions : le sport, la musique…
Ta devise : "Rien ne sert de courir, tout arrive à point à qui sait attendre."
Candidate N°6
NOM : FRANÇOISE
Prénom : Anaïs
Âge : 27 ans
Commune : Papeete
Études ou profession : infirmière
Prénom : Anaïs
Âge : 27 ans
Commune : Papeete
Études ou profession : infirmière
Tes qualités pour être Miss Popa’a : "Je suis souriante, dynamique, motivée et disponible."
Tes loisirs et passions : triathlon, pole dance, randonnées, trail…
Ta devise : "Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j’apprends"
Tahiti-Infos, le site N°1 de l’information à Tahiti
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Bagarre générale rue Pambrun
http://www.tahiti-infos.com/photo/art/default/17501631-21980409.jpg?v=1507351685
http://www.tahiti-infos.com/Bagarre-generale-rue-Pambrun_a165358.html
PAPEETE, le 6 octobre – Une bagarre a éclaté rue Pambrun en fin de journée ce vendredi. Le Smur était sur place et la Direction de la sécurité publique (DSP) a interpellé plusieurs protagonistes.
Tahiti-Infos, le site N°1 de l’information à Tahiti
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Qui Plume La Lune recrute Sommelier
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40 ans du Tahoera'a Huiraatira: Entretien avec Gaston Flosse
http://www.tahiti-infos.com/photo/art/default/17486060-21967307.jpg?v=1507263796
http://www.tahiti-infos.com/40-ans-du-Tahoera-a-Huiraatira-Entretien-avec-Gaston-Flosse_a165317.html
PAPEETE, le 5 octobre 2017- A la veille de l’anniversaire des 40 ans du Tahoera’a Huiraatira’a, Gaston Flosse nous a reçu dans son bureau de l’assemblée. L’homme qui a démarré sa carrière politique en 1957 se livre sur un parcours semé de gloires mais aussi d’embûches, de victoires, mais aussi de déceptions.
Dans le bureau de l’Assemblée qu’il occupe pour quelques jours encore avant de rejoindre le nouveau siège du Tahoeraa situé au coeur de la ville, à deux pas du marché, entouré des photos, des objets et tableaux qui lui sont chers, Gaston Flosse est disposé à un long entretien. L’homme va se montrer tantôt passionné, tantôt stratège, tantôt ému aux larmes. Le Tahoera’a Huiraatira fête ses quarante ans aujourd’hui. L’histoire de ce parti est intimement liée à celle d’un homme, Gaston Flosse. Qu’on l’admire, qu’on le craigne ou qu’on le déteste, une chose est incontestable : il ne laisse pas indifférent et marque à l’encre indélébile l’histoire moderne de la Polynésie française.
40 ans du Tahoera’a, pour vous c’est 60 ans de politique…
C’est ça, car je me suis présenté aux élections à l’assemblée en 1957 alors que j’étais instituteur. A cette époque je disais, « je suis instituteur et je mourrai instituteur », et la politique ça ne m’intéressait pas du tout. Mais le Président de l’assemblée de l’époque, Monsieur Walter Grand était un bon ami à mon père et j’ai cédé. Je me suis engagé sur la liste France-Tahiti. J’étais 5ème sur la liste, nous avons fait une grosse campagne. Après la réunion publique nous allions à l’assemblée qui se trouvait alors sur le port. Il nous servait un petit sandwich et il nous disait « asseyez-vous dans vos fauteuils », du coup on était remonté. Les élections eurent lieu. Ce fut un échec cuisant : aucun élu de notre liste. Mais c’est cette défaite qui m’a donné envie de relever le défi, de me lancer.
A la veille de cet anniversaire des 40 ans, quel a été selon vous le moteur de la machine Tahoera’a. Qu’est ce qui en fait le succès, la force ?
Le succès nous le devons à notre travail. Je veux que nos représentants soient vraiment au service des populations, que les représentant restent en contact avec la population depuis le jour de leur élection jusqu’au jour du renouvellement et non pas simplement deux mois avant les élections. C’est vrai que je suis sévère, la place sur la liste va dépendre du travail de chacun. Pour moi c’est le mérite qui compte, et non pas les diplômes.
Un Président de section est élu par les adhérents de la section, il n’est pas désigné par le président de fédération. Il est responsable de son secteur. Ce sont les présidents de sections qui élisent le président de fédération. Et c’est les présidents de fédérations deviennent représentants du Tahoeraa dans ce secteur.
Le travail sur le terrain est indiqué par le nombre de sections que chacun crée. Ils vont à la rencontre de la population, posent des questions, présentent les valeurs du parti, l’autonomie de la Polynésie à l’intérieur de la France… et s’ils sont d’accord avec ces principes, ils signent.
Vous venez de parler de la France, on vous a vu défendre depuis très longtemps la France et le statut de l’autonomie que vous avez vous même installé, mais depuis 2014, on a l’impression que le ton a changé, on sent une certaine rancœur lorsque vous parlez de statut de Pays associé.
Non, pas du tout, le Pays associé est un statut qui a pour base l’autonomie que nous avons créé en 1984, il y a plus de trente ans. Nous pensons que ce statut d’autonomie est dépassé aujourd’hui. Et plus grave : nous pensons que ce statut d’autonomie voté en 2004 a été modifié à sept reprises par le Parlement français à la suite du vote de sept lois organiques qui ont modifié ce statut. Et qui nous imposait par exemple le nombre de ministres dans un gouvernement. Nous ne sommes pas des enfants, nous savons de combien de ministres nous avons besoin… C’est notre responsabilité. Ce sont des décisions comme cela qui ont été prise et l’avis de l’assemblée n’a pas été pris en considération. Le statut de Pays associé est un statut d’autonomie plus évolué que celui de 2004. Et ce qui nous a poussé à cela c’est le fait que sept lois organiques successives sont venues complètement dénaturer le statut de 2004 qui nous avait été octroyé par Jacques Chirac. Les discussions avec Jacques Chirac étaient difficiles. D’ailleurs, Edouard Fritch estime qu’il faut revoir ce statut, le modifier, le raccommoder. Nous, nous pensons qu’il faut passer à un autre statut, le statut de Pays associé, et non pas Etat associé. Pour être un Etat associé il faut être indépendant. Nous ne voulons pas de l’indépendance. Que fait Oscar Temaru ? Il sait que par un scrutin d’auto-détermination il est battu. Alors il prend la voie détournée et il va aux Nations Unies. Il explique que tous les pays qui nous entourent sont indépendants et il réclame l’indépendance. Il dit que nous sommes colonisés – là il n’a pas tout à fait tort. Je dis non. Nous nous disons, « seul le peuple polynésien décidera de notre avenir. Il n’est pas question que ce soit l’ONU qui nous dise ce que nous devons faire. C’est déjà dans la Constitution, mais nous avons voulu réaffirmer notre volonté de rester Français. Là, il n’y a aucun doute là-dessus.
Ce sont nos adversaires qui disent que « Pays associé » c’est l’indépendance. Non. Mais c’est vrai que nous demandons davantage d’échanges avec le Parlement. Par exemple, nous disons que le parlement français ne pourra plus nous imposer ses décisions. Il faut qu’il y ait des négociations dans les domaines qui sont de compétences de l’Etat. Il n’est pas question pour nous de l’indépendance.
Ils peuvent me mettre en prison autant qu’ils veulent ce n’est pas pour ça que je changerai. Ils veulent me faire payer 343 millions pour des emplois fictifs, mais c’est faux, ces personnes-là ont travaillé…
Vous allez poursuivre en cassation ?
Oui, nous allons aller en cassation, comme je vous disais tout à l’heure, ce pays est colonisé. Depuis Nicolas Sarkozy, la justice est à la solde du pouvoir
Vous surprenez à de nombreuses reprises en montrant une capacité à rebondir, à repartir. Où est-ce que vous trouvez cette énergie et cette motivation ?
Je me dis j’ai peut-être encore 6 ou 7 ans à vivre. Je ne vais pas rester à tailler mes bougainvilliers toute la journée. Je reste à la disposition de mon pays. Je suis là, à la disposition des élus. Je les accompagne, je fais tout cela bénévolement. J’ai ma retraite de Parlementaire…
Selon vous, comment va la Polynésie aujourd’hui ?
Elle va mal, très mal. Si vous écoutez les discours du président aujourd’hui, tout va bien. Mais si vous allez dans les quartiers, vous rencontrez des familles qui vous demandent du travail. Les gens m’interrogent sur le Mahana Beach, les grands travaux. Je leur explique que ça dépend du président. J’ai rencontré une mère de famille qui apprenait à ses enfants à voler. Il y a le paka, la délinquance…
Les territoriales approchent vous allez vous présenter sur la liste du Tahoeraa ?
Oui. Nous préparons la campagne électorale. J’ai préparé ma liste, nous avons préparé les affiches les T-shirt. (Gaston Flosse dévoile une affiche ou il est représenté avec un slogan : Travail, famille, maison, NDLR).
Je vais proposer une liste sur laquelle je travaille en ce moment. Je vais la soumettre au Grand conseil qui va la présenter au Congrès. Et c’est le Congrès qui décidera.
Si vous aviez un conseil à donner à un jeune qui se lance en politique, que lui diriez-vous ?
De se baser sur un principe qui ne doit pas varier : de maintenir le partenariat avec la France. Nous ne réussirons jamais sans s’appuyer sur une grande nation. Nous avons la culture française, la langue française. Le deuxième conseil c’est d’aller vers les plus démunis : ça c’est essentiel. Il n’y a rien comme couverture sociale pour la jeunesse. Il faut leur trouver du travail. Créer de l’emploi c’est le seul moyen de remonter les comptes de la CPS (la Caisse de prévoyance sociale, NDLR). Edouard Fritch veut augmenter les cotisations il veut augmenter la part salariale mais en plus il veut créer un impôt. Nous sommes défavorable à cela. Le meilleur moyen c’est de créer de l’emploi, d’ouvrir des grands chantiers. Mais nous avons attendu un peu trop pour équilibrer les comptes. Il faut trouver 22 milliards maintenant… Et puis s’occuper des jeunes. Un jour ça va éclater. Le décrochage scolaire, l’échec scolaire… Si les enfants quittent l’école c’est qu’il y a des problèmes à la maison car le papa ne ramène pas d’argent… Notre slogan pour 2018 c’est « un travail, une maison, une famille ».
Ce qui est important, c’est créer du travail, ouvrir les grands chantiers… Le plus beau projet, c’est celui du Mahana Beach, ça je n’en démords pas. Le Président nous a dit en commission, « moi au-dessus de 150 milliards, je ne sais pas faire ». Ce projet coûte 152 milliards, mais il est très abouti.
Tahiti-Infos, le site N°1 de l’information à Tahiti
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Hôtel Les Sherpas recrute Femme de chambre ou valet de chambre
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