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Hôtel Manapany recrute Hotel manapany st barth recherche plagiste
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Destination Henua Enana avec le Salon des Marquises
https://www.tahiti-agenda.com/2017/11/27/destination-henua-enana-salon-marquises/
L’article Destination Henua Enana avec le Salon des Marquises est apparu en premier sur Tahiti Agenda, vos sorties du fenua.
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Oetker Collection Masterpiece hotels recrute Directeur de la communication
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Hôtel Square Louvois recrute Réceptionniste de nuit / night audit
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Fleur en chocolat
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Hôtel Christopher recrute Gouvernant(e) Polyvalent(e)
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Amastan Paris recrute Receptionniste de nuit CDI
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Marcel Tuihani : invité de l’Hebdo
Marcel Tuihani : invité de l’Hebdo « Tous les jours je vais à la rencontre des gens, c’est ça la politique », ces mots sont ceux de Marcel Tuihani le président de l’Assemblée de Polynésie Française qui était ce dimanche soir l’invité de l’Hebdo sur Polynésie Première. Tauarii Lee
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Raid Litchis 2017 : 163 participants pour la 7ème édition
https://la1ere.francetvinfo.fr/polynesie/raid-litchis-2017-163-participants-7eme-edition-536123.html
Raid Litchis 2017 Une fois encore, cet événement annuel était une réussite. 163 coureurs se sont alignés sur la ligne de départ à Tubuai, ce samedi 25 novembre. Dans la catégorie reine, le raid élite, Cédric Tourneur, militaire, s’impose dans cette course de plus de 29km. Polynésie 1ère
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Waterman – Grande première : Tahiti-Huahine en pirogue V6 à voile
http://www.tahiti-infos.com/photo/art/default/18476183-22620145.jpg?v=1511736800
Stéphane Lambert et ses amis watermen ont décidément toujours un temps d’avance. Au moment où vient de démarrer le Channel Crossing en Holopuni, qu’ils ont eux mêmes contribué à développer à Tahiti, voici qu’ils se lancent sur une traversée Tahiti-Huahine ce jeudi en pirogue V6 à voile. Nous les avons rencontrées samedi après leur première journée de tests.
Parole à Stéphane Lambert
Qu’est ce qui vous a poussés à développer ce projet ?
« Logiquement, après le V3, on a voulu aller vers un engin plus performant, pour avoir d’autres sensations. Le V6 était au programme depuis longtemps dans notre stratégie. Le V3 c’est un karting, plus maniable, et le V6 une formule 1. Cela va plus vite, d’abord parce qu’il y a trois propulseurs en plus, cela fait une grosse différence. »
Quelques mots sur sa construction ?
« Cette pirogue est faite à partir d’une coque de va’a ono faite par Are Va’a. Elle a été rehaussée et renforcée, elle fait quasiment 280 kilos. Elle est en bras asymétriques, il y a un flotteur qui est plus loin de la coque que l’autre et un flotteur surélevé par rapport à l’autre. Cela nous permet de pouvoir naviguer principalement sur la coque centrale en jouant sur l’équilibre. Il y a moins de frottement et donc plus de vitesse. »
« Le mat en bois est derrière le siège n°2, avec des haubans pour le sécuriser, il est un guide qui tient un autre mat, en carbone. Tous les sièges sont des compartiments indépendants. Les flotteurs sont fait à partir de OC1 de chez Are, de pirogues à quille renforcées. »
Quelques mots sur votre journée de tests ?
« On a quelques réglages d’inclinaison à faire mais même avec un vent de face, on a pu faire une moyenne de 11 km/h, la pirogue glisse vraiment bien, elle a ce shape polynésien tendu qui a un effet de dérive peu important. Elle est aussi très « bananée » donc elle aime bien surfer, il faut voir dans le gros comment cela se passe. »
La prochaine étape ?
« On va partir jeudi en début d’après midi de Taapuna ou Papeete jusqu’à Huahine, avec six personnes à bord. On prévoit entre 15 et 25 heures. Cela fait plus de 15 ans que l’on fait des traversées en pirogue à voile pour annoncer l’ouverture du Ironmana qui se déroule cette année à Huahine, le 4 décembre. On ouvre ainsi une nouvelle voie, on fera un temps de référence qui nous permettra d’envisager l’année prochaine de prêter la pirogue à d’autres équipages, ou d’en faire d’autres, pour améliorer ce temps là. »
Pourquoi en une étape ?
« On l’a fait en plusieurs étapes pendant huit ans. Si tu fais huit fois le même repas, tu as envie de manger autre choser pour le neuvième. La mémoire physique de cet effort est là, donc il est important d’avoir de nouvelles expériences. On a fait Tahiti-Moorea, Moorea-Huahine, donc pourquoi ne pas faire Tahiti-Huahine d’un coup, en plus on devra naviguer de nuit, ce sera magnifique. Il faut juste trouver l’équipe qui tient le choc. »
Steeve Teihotaata et Rete Ebb pourront être là ?
« Non, ils ont un gros problème liés aux congés. Ils vont participer aux tests mais l’équipage qui va partir sera composé de Bruno Tauhiro, Damien Girault, Clayton Ellis, Fred Deruelle, Thierry Tching et moi-même. »
Un dernier mot, un remerciement ?
« En priorité à Baptiste et Yvon de Are Va’a pour avoir pris le temps de mettre en place ce projet, d’avoir réfléchi à la structure de l’engin. Merci aux sponsors qui nous soutiennent sur les channel crossing, c’est à dire Air Tahiti Nui, Air Tahiti, Tahiti Tourisme, Da Kine voilà pour les principaux, pardon si j’en oublie après cette journée d’effort ! » Propos recueillis par SB
Qu’est ce qui vous a poussés à développer ce projet ?
« Logiquement, après le V3, on a voulu aller vers un engin plus performant, pour avoir d’autres sensations. Le V6 était au programme depuis longtemps dans notre stratégie. Le V3 c’est un karting, plus maniable, et le V6 une formule 1. Cela va plus vite, d’abord parce qu’il y a trois propulseurs en plus, cela fait une grosse différence. »
Quelques mots sur sa construction ?
« Cette pirogue est faite à partir d’une coque de va’a ono faite par Are Va’a. Elle a été rehaussée et renforcée, elle fait quasiment 280 kilos. Elle est en bras asymétriques, il y a un flotteur qui est plus loin de la coque que l’autre et un flotteur surélevé par rapport à l’autre. Cela nous permet de pouvoir naviguer principalement sur la coque centrale en jouant sur l’équilibre. Il y a moins de frottement et donc plus de vitesse. »
« Le mat en bois est derrière le siège n°2, avec des haubans pour le sécuriser, il est un guide qui tient un autre mat, en carbone. Tous les sièges sont des compartiments indépendants. Les flotteurs sont fait à partir de OC1 de chez Are, de pirogues à quille renforcées. »
Quelques mots sur votre journée de tests ?
« On a quelques réglages d’inclinaison à faire mais même avec un vent de face, on a pu faire une moyenne de 11 km/h, la pirogue glisse vraiment bien, elle a ce shape polynésien tendu qui a un effet de dérive peu important. Elle est aussi très « bananée » donc elle aime bien surfer, il faut voir dans le gros comment cela se passe. »
La prochaine étape ?
« On va partir jeudi en début d’après midi de Taapuna ou Papeete jusqu’à Huahine, avec six personnes à bord. On prévoit entre 15 et 25 heures. Cela fait plus de 15 ans que l’on fait des traversées en pirogue à voile pour annoncer l’ouverture du Ironmana qui se déroule cette année à Huahine, le 4 décembre. On ouvre ainsi une nouvelle voie, on fera un temps de référence qui nous permettra d’envisager l’année prochaine de prêter la pirogue à d’autres équipages, ou d’en faire d’autres, pour améliorer ce temps là. »
Pourquoi en une étape ?
« On l’a fait en plusieurs étapes pendant huit ans. Si tu fais huit fois le même repas, tu as envie de manger autre choser pour le neuvième. La mémoire physique de cet effort est là, donc il est important d’avoir de nouvelles expériences. On a fait Tahiti-Moorea, Moorea-Huahine, donc pourquoi ne pas faire Tahiti-Huahine d’un coup, en plus on devra naviguer de nuit, ce sera magnifique. Il faut juste trouver l’équipe qui tient le choc. »
Steeve Teihotaata et Rete Ebb pourront être là ?
« Non, ils ont un gros problème liés aux congés. Ils vont participer aux tests mais l’équipage qui va partir sera composé de Bruno Tauhiro, Damien Girault, Clayton Ellis, Fred Deruelle, Thierry Tching et moi-même. »
Un dernier mot, un remerciement ?
« En priorité à Baptiste et Yvon de Are Va’a pour avoir pris le temps de mettre en place ce projet, d’avoir réfléchi à la structure de l’engin. Merci aux sponsors qui nous soutiennent sur les channel crossing, c’est à dire Air Tahiti Nui, Air Tahiti, Tahiti Tourisme, Da Kine voilà pour les principaux, pardon si j’en oublie après cette journée d’effort ! » Propos recueillis par SB
Parole à Thierry Tching :
Premières sensations de navigation ?
« C’est une première pour moi qui était habitué à mon Holopuni trois places. Il y a besoin de beaucoup plus de marge de manœuvre car la pirogue est plus imposante, plus lourde…Tout est plus grand. On a eu de bonnes sensations. Un va’a ono équipé en voile, je ne crois pas que cela s’est déjà fait à Tahiti, c’est une grande première. »
Il y a forcément des choses à améliorer ?
« Bien sûr, on verra ça au fur et à mesure de la traversée que l’on va faire. Mais déjà pour un premier jet, – même si Stéphane a déjà expérimenté une V6 à voile à Bora Bora -, avec des balanciers complètement nouveaux, cela me semble bon à 75%. Tout le reste, c’est du détail, de la sécurité, du renforcement de cordage. Je suis assez bluffé du résultat. »
C’est un retour aux sources pour le va’a ?
« Naviguer sur une pirogue à voile, c’est émotionnellement fort. Les ancêtres polynésiens qui ont découvert les îles se sont déplacés comme ça. On peut ressentir ce qu’ils ressentaient, à notre niveau bien sûr. Il m’est déjà arrivé de naviguer de nuit, de voir le coucher de soleil, d’être dans le noir. Il y a une appréhension, c’est effrayant mais en même temps avec les étoiles comme toiture on se dit « wouah »…Naviguer aux étoiles, comme le faisaient les pionniers de la navigation qui ont découvert nos îles, c’est bluffant. »
Cela fait quelque chose ?
« Quand on est en pleine mer, il y a le côté effrayant, excitant, le côté émotion, il y a plein de choses qui se passent dans notre tête. Si on est un peu sensible à la culture, on ne peut qu’être ébloui et étonné de ce qu’on peut faire avec une pirogue à voile en Polynésie. C’est un terrain de jeu fabuleux. Nos îles sont à la fois éloignées entre elles et à la fois pas tant que ça, les traversées sont vraiment réalisables. Il y a peu d’endroits dans le monde où on bénéficie d’un tel environnement de jeu. »
Tu es un touche-à-tout, comme Stéphane ?
« Dès que ça glisse sur l’eau, c’est mon kif. En plus là ça touche la culture. Je ne sais pas si c’est l’âge qui fait ça mais au fur et à mesure de tous les sports nautiques que j’ai pratiqués, je me sens attiré vers ça parce que ça englobe tout, le kite, le va’a…Tout est réuni dans le même engin. En plus, et c’est le plus important, dans tous les sports pratiqués, j’étais seul. »
« Là, on partage notre passion avec le copain. On a les mêmes émotions, on se regarde et on se comprend tout de suite. Forcément, c’est plus fort. Ce sont des émotions…difficilement descriptibles car il faut les vivre pour les comprendre. En pirogue à la rame, on partage beaucoup de fatigue, d’efforts, là il y a l’effort mais il y a beaucoup plus de glisse, de fun et de plaisir, du coup c’est plus rentable ! (rires) » Propos recueillis par SB
Premières sensations de navigation ?
« C’est une première pour moi qui était habitué à mon Holopuni trois places. Il y a besoin de beaucoup plus de marge de manœuvre car la pirogue est plus imposante, plus lourde…Tout est plus grand. On a eu de bonnes sensations. Un va’a ono équipé en voile, je ne crois pas que cela s’est déjà fait à Tahiti, c’est une grande première. »
Il y a forcément des choses à améliorer ?
« Bien sûr, on verra ça au fur et à mesure de la traversée que l’on va faire. Mais déjà pour un premier jet, – même si Stéphane a déjà expérimenté une V6 à voile à Bora Bora -, avec des balanciers complètement nouveaux, cela me semble bon à 75%. Tout le reste, c’est du détail, de la sécurité, du renforcement de cordage. Je suis assez bluffé du résultat. »
C’est un retour aux sources pour le va’a ?
« Naviguer sur une pirogue à voile, c’est émotionnellement fort. Les ancêtres polynésiens qui ont découvert les îles se sont déplacés comme ça. On peut ressentir ce qu’ils ressentaient, à notre niveau bien sûr. Il m’est déjà arrivé de naviguer de nuit, de voir le coucher de soleil, d’être dans le noir. Il y a une appréhension, c’est effrayant mais en même temps avec les étoiles comme toiture on se dit « wouah »…Naviguer aux étoiles, comme le faisaient les pionniers de la navigation qui ont découvert nos îles, c’est bluffant. »
Cela fait quelque chose ?
« Quand on est en pleine mer, il y a le côté effrayant, excitant, le côté émotion, il y a plein de choses qui se passent dans notre tête. Si on est un peu sensible à la culture, on ne peut qu’être ébloui et étonné de ce qu’on peut faire avec une pirogue à voile en Polynésie. C’est un terrain de jeu fabuleux. Nos îles sont à la fois éloignées entre elles et à la fois pas tant que ça, les traversées sont vraiment réalisables. Il y a peu d’endroits dans le monde où on bénéficie d’un tel environnement de jeu. »
Tu es un touche-à-tout, comme Stéphane ?
« Dès que ça glisse sur l’eau, c’est mon kif. En plus là ça touche la culture. Je ne sais pas si c’est l’âge qui fait ça mais au fur et à mesure de tous les sports nautiques que j’ai pratiqués, je me sens attiré vers ça parce que ça englobe tout, le kite, le va’a…Tout est réuni dans le même engin. En plus, et c’est le plus important, dans tous les sports pratiqués, j’étais seul. »
« Là, on partage notre passion avec le copain. On a les mêmes émotions, on se regarde et on se comprend tout de suite. Forcément, c’est plus fort. Ce sont des émotions…difficilement descriptibles car il faut les vivre pour les comprendre. En pirogue à la rame, on partage beaucoup de fatigue, d’efforts, là il y a l’effort mais il y a beaucoup plus de glisse, de fun et de plaisir, du coup c’est plus rentable ! (rires) » Propos recueillis par SB
Tahiti-Infos, le site N°1 de l’information à Tahiti
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L’Union européenne va injecter 3,6 milliards Fcfp dans le développement touristique
Le vice-président, Teva Rohfritsch, s’est rendu, vendredi, à Bruxelles. Une réunion de travail avec le chef de l’unité responsable
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Les agents communaux se sont affrontés vendredi et samedi à Mataiea
http://www.tahiti-infos.com/photo/art/default/18462358-22613674.jpg?v=1511678412
MATAIEA, le 25/11/2017 – Les rencontres intercommunales ont eu lieu vendredi soir et ce samedi, à la place Tehoro de Mataiea. Plusieurs disciplines étaient programmées pour l’ensemble des participants. Vendredi soir, la culture était à l’honneur, et samedi, place aux activités sportives. Plus d’un millier de personnes étaient au rendez-vous.
C’était l’euphorie ce week-end à Teva i Uta. La commune associée de Mataiea accueillait les rencontres intercommunales sur le site de Tehoro.
Vendredi soir, la culture était à l’honneur, avec des concours de ‘ōrero, de ‘aparima, de ‘ōtea et de ‘ute ‘ārearea. Pour cette première soirée, huit communes étaient en compétition.
Ce samedi, place aux activités sportives : futsal, volley-ball, pétanque, paddle et course de pirogue. Douze équipes étaient en lice.
"Le but est de resserrer les liens entre chaque commune, en dehors du travail. Ensuite, ça nous permet de connaitre les agents", explique Maeva Paroe, 7ème adjointe au maire de Teva i Uta.
Plus d’un millier de personnes se sont donc retrouvées pour ces deux journées. "C’est convivial, c’est pour le fun. Nous ne sommes pas dans une compétition."
Ces rencontres réunissent les agents communaux, les services civiques, les CAE, les CVD et les conjoints.
À la fin de la journée de samedi, les meilleures équipes ont reçu leurs récompenses.
Les prochaines rencontres intercommunales devraient se tenir en mars, à Papeete.
Tahiti-Infos, le site N°1 de l’information à Tahiti
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Conrad Bora Bora Nui recrute Directeur business development
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La Lutte anti-vectorielle se veut innovante
http://www.tahiti-infos.com/photo/art/default/18442378-22604923.jpg?v=1511579152
http://www.tahiti-infos.com/La-Lutte-anti-vectorielle-se-veut-innovante_a166791.html
PAPEETE, le 24 novembre 2017- Le moustique sera au centre des débats à la station Gump de Moorea, à l’occasion du colloque scientifique international «Lutte anti-vectorielle innovante pour les îles du Pacifique : efficacité, sécurité, acceptabilité» qui se tient à compter de lundi jusqu’au 1er décembre.
Aussi petit soit-il, le moustique représente une importante nuisance pour notre bien-être et une menace pour notre santé avec les maladies qu’il véhicule.
Organisé conjointement par l’Institut Louis Malardé et l’Université de Californie à Berkeley, ce colloque a pour but de contribuer au rapprochement des institutions de recherche, des entreprises d’ingénierie, des représentants des pays et territoires du Pacifique comme de l’outre-mer français et des organisations régionales et internationales en discutant des travaux en cours sur les stratégies émergentes de lutte contre les moustiques vecteurs de maladies infectieuses dans le Pacifique.
Les maladies transmises par les moustiques (dengue, Zika, chikungunya…) affectent aujourd’hui la planète entière. Cette situation a motivé le développement de technologies innovantes de lutte anti-vectorielle (LAV), plus efficaces et durables. Certaines de ces technologies, qui représentent l’avenir de la LAV, sont parvenues au stade de l’évaluation opérationnelle sur le terrain. Les îles du Pacifique constituent, à ce titre, des systèmes particulièrement pertinents pour démontrer leur efficacité et leur viabilité économique. L’exploitation de ces nouvelles technologies soulève, cependant, la question de la sécurité et de l’acceptation par la communauté.
LES PERSPECTIVES D’APPLICATION A PLUS GRANDE ECHELLE
" Ce colloque est l’occasion de réunir de nombreux acteurs de la lutte anti-vectorielle, venant du Pacifique, comme des experts internationaux. L’idée est notamment d’échanger sur les technologies innovantes et sur les perspectives d’application à plus grande échelle ", explique le Dr Hervé Bossin de l’Institut Louis Malardé. Et effectivement, les Etats insulaires du Pacifique seront informés à travers ce colloque des évolutions technologiques en matière de LAV, des opportunités et des contraintes qui y sont associées et des étapes préparatoires à prévoir (réglementation, évaluation, mobilisation communautaire) avant toute mise en œuvre à grande échelle. Ce colloque visera également à rassembler et à fédérer développeurs de technologie innovantes, évaluateurs sur le terrain et bailleurs de fonds potentiels autour de projets-pilotes capitalisant sur le fort potentiel des îles du Pacifique en matière de contrôle des maladies vectorielles et de développement durable.
Les objectifs poursuivis vont dans le sens des recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui souligne l’importance du développement de capacités de lutte contre les moustiques vecteurs et encourage l’évaluation, en conditions opérationnelles, des technologies LAV les plus abouties pour en déterminer l’efficacité et la pérennité.
Les objectifs poursuivis vont dans le sens des recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui souligne l’importance du développement de capacités de lutte contre les moustiques vecteurs et encourage l’évaluation, en conditions opérationnelles, des technologies LAV les plus abouties pour en déterminer l’efficacité et la pérennité.
Les conférences et tables rondes porteront sur :
-Contexte et enjeux de la lutte anti-vectorielle innovante dans le Pacifique ;
-Etat de l’art en matière de surveillance, de modélisation et de lutte anti-vectorielle ;
-Considérations bioéthiques, sociétales, et de gouvernance ;
-Projets pilotes et coopération régionale.
-Etat de l’art en matière de surveillance, de modélisation et de lutte anti-vectorielle ;
-Considérations bioéthiques, sociétales, et de gouvernance ;
-Projets pilotes et coopération régionale.
Les participants
Institutions de recherche – Etablissements publics
· American Samoa Community College (Samoa américaines)
· Grupo Tragsa – SEPI (Espagne)
· Institut de recherche pour le développement (Montpellier, La Réunion)
· Institut Pasteur (Nouvelle-Calédonie)
· Institut Louis Malardé
· James Cook University (Australie)
· QIMR Berghofer Medical Resaerch Institute (Australie)
· Philips Exeter Academy (Etats-Unis)
· Rutgers University – New Brunswick (Etats-Unis)
· Social anthropology of the Gilbert Islands (République de Kiribati)
· Tetiaroa Society
· Te Pu Atitia Cultural center
· University of California – Berkeley (Etats-Unis)
· Université Pierre et Marie Curie
· Université de la Polynésie française
Représentant des pays et collectivités du Pacifique et de l’Outre-mer français
· Agence régionale de santé (Guadeloupe)
· Community Health Services – Te Marae Ora – Ministry of Health (Iles Cook)
· Direction des affaires sanitaires et sociales (Nouvelle-Calédonie)
· Direction de la santé (Polynésie française)
· Ministry of health and medical services (Fidji)
· Ministry of health (Samoa)
· Service de santé publique – Direction des affaires sanitaires et sociales (Nouvelle-Calédonie)
Organisations nationales, régionales et internationales
· Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA)
· Centre national d’expertise sur les vecteurs (CNEV)
· Communauté du Pacifique Sud
· National Environmental Agency (Singapour)
Entreprises d’ingénierie
· Biogents (Allemagne)
· Blue Frontiers (Etats-Unis)
· M3 Consulting Group (Etats-Unis)
. Weber CoMechanics (Russie)
· American Samoa Community College (Samoa américaines)
· Grupo Tragsa – SEPI (Espagne)
· Institut de recherche pour le développement (Montpellier, La Réunion)
· Institut Pasteur (Nouvelle-Calédonie)
· Institut Louis Malardé
· James Cook University (Australie)
· QIMR Berghofer Medical Resaerch Institute (Australie)
· Philips Exeter Academy (Etats-Unis)
· Rutgers University – New Brunswick (Etats-Unis)
· Social anthropology of the Gilbert Islands (République de Kiribati)
· Tetiaroa Society
· Te Pu Atitia Cultural center
· University of California – Berkeley (Etats-Unis)
· Université Pierre et Marie Curie
· Université de la Polynésie française
Représentant des pays et collectivités du Pacifique et de l’Outre-mer français
· Agence régionale de santé (Guadeloupe)
· Community Health Services – Te Marae Ora – Ministry of Health (Iles Cook)
· Direction des affaires sanitaires et sociales (Nouvelle-Calédonie)
· Direction de la santé (Polynésie française)
· Ministry of health and medical services (Fidji)
· Ministry of health (Samoa)
· Service de santé publique – Direction des affaires sanitaires et sociales (Nouvelle-Calédonie)
Organisations nationales, régionales et internationales
· Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA)
· Centre national d’expertise sur les vecteurs (CNEV)
· Communauté du Pacifique Sud
· National Environmental Agency (Singapour)
Entreprises d’ingénierie
· Biogents (Allemagne)
· Blue Frontiers (Etats-Unis)
· M3 Consulting Group (Etats-Unis)
. Weber CoMechanics (Russie)
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Assises des Outre-Mer : la participation des Polynésiens est encourageante
http://www.tahiti-infos.com/photo/art/default/18442466-22604946.jpg?v=1511579689
PAPEETE, le 24/11/2017 – Depuis le 7 novembre, des réunions publiques sont organisées au fenua, dans le cadre des assises de l’outre-mer. Selon le référent pour la région du Pacifique, les Polynésiens sont très participatifs, et les réflexions dans les ateliers sont "très intéressantes". Dès lundi, les réunions se feront aux Raromatai.
Mises en place par le gouvernement central en métropole, les assises de l’outre-mer servent à donner la parole aux populations sur huit thèmes bien définis : l’environnement, l’emploi, la culture, le développement économique, la santé, la sécurité, la création d’entreprise et la jeunesse. Des thèmes qui "sont un peu le socle de ces assises", souligne Jacques Wadrawane, référent des assises des outre-mer pour la région du Pacifique.
Ces assises sont réparties en trois phases : les tables rondes réunissant le milieu professionnel, les rencontres publiques qui sont organisées sur l’ensemble du territoire polynésien et le site internet.
Des espaces qui remportent un franc succès puisqu’on dénombrerait, sur le plan local, 40 000 visites sur le site internet www.assisesdesoutremer.fr avec 9 000 inscrits et 2000 personnes ayant répondu au questionnaire.
Durant les réunions publiques, un premier bilan est dressé et il est plutôt satisfaisant. "Il y a eu une très bonne mobilisation et des réflexions très intéressantes dans les ateliers, parce que les gens participent", explique Jacques Wadrawane. Les échanges durant les tables rondes sont toutes aussi enrichissantes.
Il ne faut pas oublier qu’"il faut que les gens, qui jusqu’ici on ne les voyait pas, puissent s’exprimer, si on veut que ces assises réussissent".
Si toutes les problématiques soulevées par les populations n’ont pas été citées, le référent pour la région du Pacifique en a évoqué quelques-unes, telles que le transport lié à la continuité territoriale notamment ou encore le logement social. Mais ce n’est pas tout, puisque "quand la Polynésie, qui est à l’échelle de l’Europe, on pense, forcément, au désenclavement, au transport. Donc, rien que sur ces problématiques, on pense aux répercussions sur le bien-être des populations. Ce sont forcément des choses qui seront traitées en ateliers, et il y aura à la sortie des réponses concrètes sous forme de projet".
Une fois que les projets seront définis, chaque gouvernement local devra définir ses priorités, afin de les mettre en place durant le quinquennat du gouvernement d’Emmanuel Macron. Ces priorités seront ensuite répertoriées dans le livre bleu, qui "sera finalisé pour tous les territoires fin mai. Parce qu’au début de l’été, ce sera la période des finances, où il va falloir préparer les financements de ces projets", précise Jacques Wadrawane.
Les réunions publiques continuent au fenua. Elles se tiendront, la semaine prochaine, aux Raromatai. Lundi 27 novembre, le rendez-vous est fixé à 18 heures à Bora Bora, sous le chapiteau communal de Vaitape. Mardi 28 novembre, les habitants de Huahine seront attendus à partir de 19 heures à l’école primaire de Fare. Ces rencontres se termineront, jeudi 30 novembre à 19 heures à Raiatea, sous le chapiteau d’Uturoa, à la place To’a Huri Nihi. À partir du 4 décembre, ce sera au tour des Tuamotu-Gambier, avant de finir aux Marquises, mi-décembre.
Jacques Wadrawane
Référent pour la région du Pacifique
Référent pour la région du Pacifique
Qu’est-ce qui va changer des États-généraux de 2009 ?
"C’est que d’abord, on ne va pas déboucher sur des mesures, mais sur un livre bleu. Un livre bleu qui rassemblera les priorités du pays sous forme de projets. Un projet, ça a un début, une fin et il y a des modalités de financement de ces projets. Pour les Etats-généraux, il n’y a pas eu grand-chose qui est sorti. Là, c’est différent puisque la méthode qui a été choisie par le Président et la ministre, c’est de le faire de manière participative, c’est-à-dire que l’information ne reste pas au niveau de la technocratie, il faut qu’elle descende jusqu’aux populations. C’est pour ça qu’il y a eu des réunions publiques dans les îles, mais également des tables rondes. Justement, les réunions publiques ont été mises en place pour donner la parole aux gens, afin qu’ils s’expriment librement sur leur manière de voir l’avenir, et leurs préoccupations."
Quelles sont les thématiques dans la région du Pacifique ?
"J’ai trois territoires : la Nouvelle-Calédonie qui a choisi le thème de la jeunesse, et on comprend compte-tenu de l’actualité et du référendum l’année prochaine. Il y a Wallis et Futuna qui ont rajouté trois thèmes en plus des huit retenus, le dialogue social et l’évolution des institutions. Et la Polynésie française qui a choisi de traiter les huit thèmes."
Où en est-on dans le processus ?
"Pour l’instant, on est à la phase de la consultation, puis il y a des travaux en ateliers. Les propositions déboucheront dans peu de temps."
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