Plusieurs incendies ont éclaté en raison d’une sécheresse persistante, de températures élevées et d’un vent fort venu du Pacifique, auxquels s’ajoutent les difficultés résultant de la topographie particulière de la ville, composée et entourée de 44 collines.
Le 2 janvier, les flammes ont détruit plus de deux cents habitations et blessé une vingtaine de personnes.
Aux termes de cet "état d’exception pour catastrophe", le commandant de la première zone navale, Ronald Mc Intyre, a pris le contrôle de la sécurité de Valparaiso.
Cela lui donne le droit notamment de réduire les libertés de mouvement et de réunion, ou encore de procéder à des réquisitions de biens.
"A l’heure actuelle, nous augmentons la sécurité dans les zones affectées et nous nous efforçons de fournir une aide humanitaire rapide", a expliqué Ronald Mc Intyre aux journalistes.
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