Nouméa, France | AFP | jeudi 25/04/2018 – Des formations de la droite non indépendantiste de Nouvelle-Calédonie ont annoncé jeudi l’organisation d’une « marche bleu blanc rouge » lors de la visite la semaine prochaine d’Emmanuel Macron, qui se déroulera à six mois du référendum sur l’indépendance.
« L’idée, c’est vraiment une grande marche de fraternité bleu blanc rouge pour montrer au président de la République (…) et au-delà en métropole, que la majorité des Calédoniens veut rester dans la France », a déclaré à la presse Sonia Backès, présidente des Républicains calédoniens (7 élus sur 54 au Congrès).
La marche aura lieu le vendredi 4 mai et effectuera un parcours dans le centre-ville de Nouméa avec escale devant le haut-commissariat de la République.
Mme Backès, qui incarne l’aile la plus à droite du camp loyaliste, est soutenue par deux autres petites formations non indépendantistes.
Elle a notamment justifié cette marche par le fait que « beaucoup de séquences » du séjour d’Emmanuel Macron, du 3 au 5 mai, seront orientées vers l’identité kanak, citant celles « au Sénat coutumier, à Ouvéa et au Centre culturel Tjibaou ».
Le voyage d’Emmanuel Macron en Nouvelle-Calédonie intervient alors que le 4 novembre un référendum d’autodétermination sera organisé dans l’archipel, à l’issue du processus de décolonisation par étapes mis en oeuvre par l’accord de Nouméa en 1998.
« L’idée, c’est vraiment une grande marche de fraternité bleu blanc rouge pour montrer au président de la République (…) et au-delà en métropole, que la majorité des Calédoniens veut rester dans la France », a déclaré à la presse Sonia Backès, présidente des Républicains calédoniens (7 élus sur 54 au Congrès).
La marche aura lieu le vendredi 4 mai et effectuera un parcours dans le centre-ville de Nouméa avec escale devant le haut-commissariat de la République.
Mme Backès, qui incarne l’aile la plus à droite du camp loyaliste, est soutenue par deux autres petites formations non indépendantistes.
Elle a notamment justifié cette marche par le fait que « beaucoup de séquences » du séjour d’Emmanuel Macron, du 3 au 5 mai, seront orientées vers l’identité kanak, citant celles « au Sénat coutumier, à Ouvéa et au Centre culturel Tjibaou ».
Le voyage d’Emmanuel Macron en Nouvelle-Calédonie intervient alors que le 4 novembre un référendum d’autodétermination sera organisé dans l’archipel, à l’issue du processus de décolonisation par étapes mis en oeuvre par l’accord de Nouméa en 1998.
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